Two for the money de D.J. Caruso **
Prévisible de la première à la dernière image ce film bavard et maladroit développe la trame ultra connue et rabâchée de l’ascension-chute-happy-end avec exposé sur la relation père/fils, maître/élève et aussi un petit détour du côté des alcooliques anonymes, des accros-malades du jeu en thérapie de groupe, de la psychologie à deux dollars, des dollars brassés par millions sur des « paris » et j’en passe et des plus subtiles !
Mais, mais, mais, trois fois mais… ce salmigondis est emmené par Al Pacino, plus « pacinien » que jamais, il « pacinisme » non-stop, en grande forme, survolté, toujours à l’extrême limite de la crise cardiaque, il vampirise l’écran, le film et ses partenaires qui le laissent faire et déverse un torrent de tirades-monologues. Il disparaît quelques instants de l’écran ??? On s’ennuie. Ce n’est pas un film : c’est un One Man Show frénétique et délirant, parfois drôle. Et puis, à la toute fin de l’histoire, sa femme lui fait quelques révélations, et Pacino s’effondre, se fige, soudain muet et son visage, paysage encore bien plus éloquent que ce flot de paroles, nous (me ?) rappelle quel acteur phénoménal il est.
Matthew McConaughey (très bien) et Andre Russo (impériale) ne déméritent pas mais ils se sont laissé manger tout cru sans broncher et semblent au contraire visiblement hypnotisés et attendris par la Star !
Ardent
Lyrique
Passionné
Amoureux
Cabotin
Immense
Narcissique
Ogre !
I love you…
Commentaires
Amen
Maintenant je comprends pourquoi tu aimes même les dents de devant de Freddie Mercury...
Merci ma Pascale, mais tu es beaucoup trop jeune et vivante pour moi. Et puis d'ailleurs, j'ai encore de l'eau à javel à garrrrrrrrgaaaaaaaaaarrrrrrrrrriser, alors cíao principessa !
Doc. : tu l'as dit bouffi !
Al. : oui les dents de cheval c'est ma came ;-)
Al et ouane : Where are you ???
Je suis ici, sur ton blog...
Mouaaaaaaaaaaaahahahahaha...
(tousse, tousse, kaaaaaaaaarhaaaaaaaach)
Al : rdv à 18 h là où tu sais...
punaise de chez punaise! qu'il est mignon...pkoi c'est pas moi qu'il vient voir :(
Pascale, merci pour hier soir. Ma chère et tendre, quel invraisemblable cheminement tout ces galops monstrueux, je t'ai soutenu,e unis pour l'éternité, uni vers celle qui verse ma vie à l'envie.
Viens que je te dise une histoire, tu m'as amené à la vie, je me surprends à souhaiter te revoir, ma peau aime tes poèmes, ces refrains d'amour nous les vivrons.
Chaque nuit j'écoute sur les toits si nous c'est pour un mois, si nous c'est pour toujours.
Je t'aime un peu, beaucoup, passionnément à la folie, je t'aime plus que les rires.
Mon amour, je me roule dans ton corps, les perles de la nuit nous conduisent à demain, je viens, je viens...
Tu es ma friandise. Comment te dire je t'aime. Qu'il est difficile de conjuguer le verbe. Tout mon amour.
moonlight : Désolé, Dollface, mais j'en pince pour Pascale.
Al. : toujours dans l'excès et la surabondance... mais c'est bon quand même !!!
Moon : Al. est fou ! (de moi).