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çA COMMENCE PAR LA FIN de Michaël Cohen °
PRINCE OF PERSIA : LES SABLES DU TEMPS de Mike Newell°
FILM SOCIALISME de Jean-Luc Godard °°°
(Go Get Some Rosemary)
de Joshua Safdie, Benny Safdie ***
Synopsis : Après plusieurs mois passés séparé de ses enfants, Lenny, la trentaine, les récupère à l'école. Comme chaque année, il passe deux semaines avec ses fils Sage, neuf ans, et Frey, sept ans.
17 mai 1936 - 29 mai 2010
Plus vraiment jeune, mais pas vraiment vieux non plus (et le portrait craché de mon beau-père pour ne rien vous cacher...), si je devais le résumer d'un mot, je dirais peut-être "excessif" tant il semble que sa vie ait été marquée par tous les abus, de tabac, d'alcool, de drogues, de femmes mais c'était aussi et surtout un artiste : acteur, réalisateur, poète, peintre et photographe.
5 mariages, 4 enfants et 150 films... sa carrière commence avec Nicholas Ray et "Johnny Guitar", vous vous rendez compte ? Puis il rencontre son idole James Dean et partage deux fois l'affiche avec lui dans "La fureur de vivre" et "Géant". Il croise aussi la route de John Wayne.
Mais c'est en devenant réalisateur du désormais cultissime "Easy Rider" en 1969 au côté de Peter Fonda et Jack Nicholson qu'il va marquer à tout jamais Hollywood et le cinéma mondial. Ce film différent tant sur le plan de la narration que de l'esthétique, libre et atypique, un symbole pour la génération hippie, va permettre aux réalisateurs de rompre avec les diktats des studios hollywoodiens.
Je ne sais pas faire les oraisons funèbres tant il est difficile d'évoquer quelqu'un en quelques mots. Alors je ferai simple, c'était un grand acteur, différent, un peu fou... Bien sûr il fut Billy, l'Ami américain, Frank Booth le psychopathe mais j'avoue que le photographe halluciné d'Apocalypse now m'avait particulièrement impressionnée.
Chez les Cohen/Béart on ne doit pas rigoler tous les jours. Mais un jour Michaël, mari d'Emmanuelle dans la vraie vie a eu envie de la filmer dans tous ses états. Et aussi de se filmer lui et puis elle, et eux ensemble, dans tous leurs ébats ! Dans les toilettes des cafés... debouts dans la rue, lui tourné contre le mur et elle s'humectant le doigt... sur le bureau où elle travaille... parfois dans un lit. Pourquoi ? Pourquoi ce film ? Pour déclarer à la femme qu'il aime qu'il l'aime ? Pour nous démontrer à quel point il l'aime ?
Histoire d'amour dans le désordre, avec un début, un milieu et une fin, quoique, pas sûr. Des bribes de dialogues, des insultes, des soupirs. Des départs, des retrouvailles. Des colères, de la jalousie. Des tentatives de suicides. Du grand n'importe quoi filmé n'importe comment. Et nous, pauvres spectateurs, réduits à l'état de voyeurs, que devons-nous faire de ce spectacle d'un couple qui ne cesse de dire qu'il s'aime puis qu'il se déteste comme jamais ?
Emmanuelle, parfaitement mal habillée et coiffée/décoiffée a pourtant de véritables éclats, de rire, d'humeur, d'agacement qui prouvent qu'elle s'offre toute à ce film et à son homme qui joue (pas très très bien) l'homme du film, mais elle le porte toute seule le film, bravement avec ses excès de douceur, de brusquerie et de violence.
La question demeure néanmoins, où est le film dans ce numéro d'exhibitionnistes ?
Je vous ai déjà parlé de Benoît Gautier.
Mais si, c'est lui là en-dessous (celui avec un peu des cheveux)
Sur son CV est écrit : Auteur, scénariste, metteur en scène, biographe, journaliste de cinéma. Il habite ici où il parle (très bien) du cinéma et aussi un peu là quand il a le temps. Il aime les belles femmes, les jolis garçons mais aussi et surtout le cinéma et le théâtre. Et justement, en juillet prochain, il sera en Avignon où il présentera avec
BAFDUSKA THEATRE
Bien Assis au Fond D’Un Sofa Keski Arrive?
1 villa Courtalon 10000 Troyes
03 25 75 50 07 / 09 52 66 19 59
une pièce de Larry Tremblay qu'il met en scène, avec dans le rôle principal, la comédienne Micky Sebastian. La pièce sera accueillie par le théâtre
La Tache d’Encre du 8 au 31 juillet au Festival OFF d’Avignon 2010.
En outre pour ce spectacle Benoît et la compagnie franco-canadienne BAFDUSKA THÉÂTRE se trouvent actuellement dans une dynamique de recherche de mécènes pour la production de cette création. Donc, si vous souhaitez devenir mécène de :
contactez Sylvain Savard (en lui cliquant dessus).
Cette pièce est un monologue qui raconte l’histoire de Martha, professeur de science et femme de ministre. Mutilée après une mammectomie, mais aussi meurtrie dans son cœur, l’héroïne ausculte son histoire d’amour auprès d’un homme de pouvoir. Sur scène, elle dissèque l’envers du décor autour d’un mannequin de vitrine, symbole du mari de Martha.
La maltraitance conjugale, le combat face à la maladie, la désillusion amoureuse sont les thèmes de ce texte pourtant décapant malgré la douleur de son sujet. Ironique et émouvant, caustique et palpitant, mais sans jamais céder au pathos, cette pièce a été créée en juin 2009 en résidence théâtrale à La Maline de l’île de Ré. Il a aussi fait l’objet de deux représentations exceptionnelles au Centre culturel canadien à Paris.
Parce que la critique et le public ont acclamé d’emblée ce spectacle et son interprète. Parce que Leçon d’anatomie encore méconnue en France a été jouée dans le monde entier par de grandes actrices (Glenn Close a approché Larry Tremblay pour acquérir les droits de la pièce pour Hollywood). Parce que le personnage de Martha peut devenir un grand rôle du répertoire contemporain. Parce que Micky Sebastian a choisi ce texte pour faire son retour sur les planches après dix ans de présence sur le petit et le grand écran. Parce que Larry Tremblay est un auteur québécois vivant. Parce que son nom est associé à celui de BAFDUSKA THÉÂTRE depuis quelques années, l’équipe artistique croit de toutes ses forces au succès de ce projet lors de son rendez-vous avignonnais.
C'est pour toutes ces bonnes raisons que la générosité est sollicitée pour apporter une aide financière dans ce cadre artistique. Selon les prévisions budgétaires, la compagnie doit réunir la somme de 12 000 € pour l’entière réalisation de ce spectacle en juillet 2010. Cependant, sachez que cette demande de mécénat n'est pas exclusive et qu'en retour de la générosité :
- votre don fera l’objet d’une réduction d’impôts substantielle et proportionnelle au montant versé à la compagnie ;
- le logo de votre société apparaîtra sur tous les supports de communication (affiches, flyers, dossiers presse…) ;
- des invitations seront disponibles pendant le Festival d’Avignon OFF pour les membres de votre entreprise ;
- en cas d’autres formes de don et de visibilité de votre part, nous étudierons avec le plus grand intérêt chacune de vos propositions.
Vous pouvez parcourir le dossier artistique de Leçon d’anatomie, des photos, visionner des extraits du spectacle en cliquant ICI puis en vous rendant dans la rubrique BAFDUSKA THEÂTRE.
LES INROCKUPTIBLES - Jean-Marc Lalanne !
Sans tellement modifier sa langue ou sa méthode, le cinéma de Godard s'est rebranché sur le contemporain. (...) Le socialisme du film commence par là : la constitution d'une république des images, iconoclastement égalitaire, où le copyright est aboli, où les dénivelés statutaires qui séparent chacune d'elles sont comblés par le collage. (...) C'est de toute façon plus encore dans sa pratique que dans ses visions que le film éblouit.
CHARLIE HEBDO - Jean-Baptiste Thoret :
Un grand moment de "cinéma pur".
EXCESSIF - Jean-Baptiste GUEGAN :
Dense et sublime, expérimental et difficile.
Cet art de la citation, d'oeuvres de la pensée, picturales, musicales, dites, montrées ou sonores, n'est pas nouveau chez Godard, disons qu'il atteint, à l'image de son propos, un point de non-retou
LIBERATION - Gérard Lefort :
(...) sur le territoire de ces lieux communs, il construit un nouveau chromatisme qui les transforme du dedans, crée des thèmes, développe en force une forme gorgée du dernier cri (de souffrance) des moyens modernes de la communication (fil à la patte des mal nommés portables qui, telle la drogue, nous fixent), autant dire un formidable nomadisme.
MARIANNE - Danièle Heymann :
Godard, dans son kaléidoscope chromatique, politique, irritant et exaltant, a mis à l'abri tout le langage des images.
TELERAMA - Jacques Morice :
Son film suscite plus une impression de nostalgie que de désespoir. Le tout dans une clarté qui rappelle Eloge de l'amour, son dernier bon film, vieux de neuf ans déjà. (...) Il semble ne plus chercher l'affrontement (...) et on le sent prêt à passer le relais. (...) Etre un poisson des abysses et regarder vers le haut : c'est la profondeur délivrée du langage, dont Godard a toujours rêvé. Enfin une image de paix.
Par contre si vous voulez connaître le palmarès avec les impressions et les sensations du dedans, des photos floues vues d'avion, des vidéos avec des voisins qui gloussent, de l'émotion et du texte anti-twitt complètement IN THE MOOD, c'est ici que ça se danse.
Et puis, M6 a consacré quelques minutes à Sandra et son blog et ça se passe ici en dessous :
http://video.fr.msn.com/watch/video/festival-de-cannes-des-etoiles-sur-la-toile/13qdoe8j7
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Sinon, pour jouer c'est simple, retrouvez le titre de chaque film d'après ces petits morceaux d'affiches. Une seule réponse à la fois par personne. Vous pouvez rejouer quand j'ai donné la réponse (MÊME SI VOUS AVEZ BON...). Pourquoi je me fatigue encore à expliquer moi ?
Plus que la réponse 4 à trouver, et la semaine prochaine, les affaires vont reprendre avec des places de cinéma à gagner !
GAME OVER. MERCI.
1
LA BELLE HISTOIRE trouvé par Mister Loup
2
AMEN trouvé par Ed
3
JESUS DE NAZARETH trouvé par Fred
4
LE MALIN trouvé par Fred
5
LE PETIT MONDE DE DOM CAMILLO trouvé par marion
6
TERESE trouvé par Dieu... (et réciproquement d'après ce qu'on m'a dit).
7
JESUS CHRIST SUPERSTAR trouvé par fog
8
LA DERNIERE TENTATION DU CHRIST trouvé par marion
9
LA PASSION DU CHRIST trouvé par fog
10
LE CHRIST S'EST ARRÊTE A EBOLI trouvé par Fred
L'ENFANCE DU MAL de Olivier Coussemacq **
COPIE CONFORME de Abbas Kiarostami *