C'est l'histoire d'un mec super seul et super triste qui ne veut pas être SuperMan, la preuve...

il ne porte pas sa culotte rouge au dessus de son collant bleu.

Alors, que se passe t'il ? En gros, on change tout et tout le monde et on recommence. Et sans vouloir me faire plus mainstream que je ne l'ai jamais été, j'aurais tendance à dire que nous assistons ici à un reboot puisque tout commence sur la planète Krypton. La planète est sur le point d'imploser car son noyau est devenu instable. Par ailleurs le scientifique Jor-El s'oppose au belliqueux Général Zod. Sur Krypton, les mutchachus sont conçus dans une couveuse géante qui abrite des éprouvettes. Mais Jor-El et sa très jolie femme un jour Lara en ont engendré un de manière naturelle. Comprenons qu'ils ont fait crack boum hue ! Avant que la planète soit réduite en bouillie de kryptonite Jor et Madame envoient leur rejeton sur une planète ronde et bleue peuplée d'êtres à cerveau... enfin, c'est ce qu'ils ont imaginé. L'extra-terrestre est confiant ! Comme d'hab' Kal-El (c'est le nom de Super avant qu'il ne soit Clark Kent) s'écrabouille dans le Kansas et est recueilli et élevé par deux bouseux du coin, Jonathan et Jennifer (Kevin-Toujours Miam-Costner) et Martha (Diane-Bof-Lane). Clark s'aperçoit très vite qu'il a des super pouvoirs mais son papounet adoptif qui connaît l'espèce humaine lui recommande de ne pas les utiliser, de ne pas se faire remarquer,  profil bas, tout ça. Du coup, l'enfance et l'adolescence de Clark ne sont pas choupis parce que tout le monde se moque de sa figure vu qu'il joue les toutmous alors qu'il est capable de soulever un autobus avec l'auriculaire. Jusqu'au jour où il ne peut plus faire autrement que de montrer qu'il est super parce que franchement sauver des vies c'est son truc, ça le démange, c'est son karma. Dans la glace il retrouve son vaisseau spatial. Il appuie sur un bouton et son père, le vrai, lui apparaît et c'est Russel-Gladiator-Crowe qui est chargé de lui dire sans rire : "je suis ton père Luke Kal". Au même moment, Loïs Lane (Amy-NezEnTrompette-Adams) est là et le général Zod (Michael-Très très vilain-Shanon) se libère de sa prison galactique avec son équipe de vilains. Zod apprend où est planqué le codex génétique (je ne vous dis pas où ! c'est le suspense) et il veut le récupérer, génocider la Terre et recréer une Krypton en ses lieu et place. C'est compter sans Super qui au début se fait appeler E.T. et qui affirme : "j'ai été élevé dans le Kansas, plus ricain que moi on fait  pas." Il faut dire que as usual, c'est New-York Metropolis qui morfle un max. Et Super défend mieux que personne l'espèce, surtout aux alentours de grands gratte-ciel (cherchez pas, j'ai vérifié gratte-ciel au pluriel c'est gratte-ciel)...

Bon je vous la fais courte. J'ai 25 autres films dont je dois vous parler. Ceux qui me suivent depuis longtemps le savent, j'aime les super héros sauf quand ils sont vraiment pas super ou trop bleu, (et c'est là que je découvre qu'en 2009 je n'avais pas de portable...c'est trop bien d'avoir un blog qui se souvient de tout)trop Doc Manhattan quoi. Et mon préféré c'est Superman depuis... 1978. Alors j'ai aimé aussi celui-là. J'avais trouvé Brandon Rough vraiment pas mal du tout, mais je devais être la seule... Et je dois avouer que Henry Cavill fait bien le job et que son apparition torse nu sans trucage ni photoshop faire faire waouououououh ! Mais il fait beaucoup moins le mariole que tous les Supermen précédents. C'est un garçon torturé, inquiet. Et Riton fait cela très bien. Les autres acteurs (Russel, Michael et Kevin dans le même film, je vais pas porter de réclamation !) ont bien du mérite car ils ont dû passer beaucoup de temps devant un écran vert ! Oui, beaucoup, beaucoup d'action dans cet opus qui ne devrait être que le premier d'une longue série puisque ce n'est qu'à la toute fin que Clark Kent fait son entrée au Daily Planet...

To be continued...