LE JOUR ATTENDRA de Edgar Marie °
Synopsis : Milan et Victor se connaissent depuis toujours.
Patrons de boites de nuits à Paris, ils ont depuis plusieurs années rompu tout contact. Mais le retour de Serki change la donne. Serki le dangereux psychopathe et sa cohorte de mauvais souvenirs. Les souvenirs d’une époque ou pour pouvoir survivre dans un business en pleine déliquescence, Milan et Victor avaient accepté une mauvaise affaire qui avait envoyé Serki en prison au Mexique. S’il est revenu, c’est pour réclamer vengeance. Et les deux vieux amis n’ont pas d’autre alternative que de se retrouver afin d’unir leur force pour échapper à la vindicte de Serki. Ils traversent une nuit en ébullition afin d’y trouver des solutions. Le monde qui les entoure a changé. Ils sont déconnectés dans leur propre univers. C’est à l’occasion de ce périple le temps d’une nuit qu’ils vont aussi mesurer l’état de pourrissement de leur amitié et les mensonges qui polluent leur existence. Entre leurs règlements de comptes et la mort qui les menace à chaque coin de rue, Milan et Victor sont plus que jamais obligés de faire des choix irréversibles. Des choix qui intègrent leurs valeurs, leur famille et les trente ans d’amitié qui les unissent.
Dans un moment d'aberration mentale et alors que nous avions un choix cornélien : ce film ou 12 heures avec Nicolas Cage, mon époux, cet astre, à qui j'avais dit "c'est toi qui choisis", a eu cet élan sublime : "soutenons le cinéma français". Alors voilà, c'est fait, nous avons soutenu. On ne regrette pas. On était au frais et notre directeur de salle sait parfaitement gérer une climatisation. Ni trop, ni trop peu. Lorsqu'on est à l'intérieur on n'est pas frigorifiés et lorsqu'on sort, on n'a pas la sensation qu'une chape de plomb nous tombe sur les épaules. C'est très délicat à manipuler une clim' vous savez ? Ah oui le film.
Vous me pardonnerez de ne pas m'éterniser. Je n'aime pas tirer sur une ambulance. Si ce film commence pas trop mal, au Mexique avec Carlo Brandt qui fait très très peur et les deux baltringues Gamblin et Marchal qui se font couillonner comme des bleus et torturer à la perceuse... dès le retour à Paris, ça vire au big porte nawak et rien ni personne ne vient sauver le désastre.
Mais si vous voulez rire, lisez le synopsis, il est aussi prétentieux que le film.
Commentaires
Oui Carlo fait très très peur, je comprends pas pourquoi d'ailleurs, il a un beau visage et une voix amène mais pitin qu'il fait peur
Par contre un film de ou avec Olivier Marchal me fait encore plus peur. La prochaine fois tu iras vérifier l'état des implants de Nic Cage
On a voulu sauver le soldat cinéma français !
Olivier Marchal je peux plus non plus... mais je me disais que peut-être Gamblin faisant...
Mais non !
Le gérant des salles où passe ce genre de truc ne sait pas jamais la clim', donc l'été, je n'y vais jamais. Heureusement, les salles Art et Essai qui m'intéressent le plus ne sont pas climatisées. On a chaud, mais on n'attrape pas la crève et on ne sent pas au Groëland.
Il fallait lire "ne sait pas gérer la clim", le clavier a dû ripper tout seul !
Ces claviers n'en font qu'à leur tête !
Oui j'ai déjà eu froid en été au cinéma, ça a un peu tendance à me gonfler !
C'est le seul film qui me tentait là où tu sais (au bout du monde de la province). Merci d'avoir tué ma dernière lueur d'espoir et merci à ton astre de soutenir le cinéma français, à ses risques et périls. Qu'il n'aille tout de même pas jusqu'à aller voir "Chez nous c'est trois" pour ça.
Et qu'est ce qui pouvait bien te tenter ???
Non, il ne le soutiendra pas jusque là !!! Il y a des limites !
Et oui Carlo avec sa belle voix et son beau visage...
c'est dingue...
et puis là, il est tout bronzé, tout lymphatique.
en fait chacune de ses apparitions est un événement !
Et "il touche pas aux enfants"... mais il tue, viole les femmes tout ça.
Un beau psycho !