12 HEURES de Simon West **
Synopsis : Trahi lors d’un hold-up qui a mal tourné,
Will Montgomery, un voleur surdoué, vient de purger huit ans de prison. Désormais, il est décidé à tourner la page et souhaite seulement renouer avec sa fille, Alison. Mais ses anciens associés, tout comme le FBI, sont convaincus que c’est lui qui a caché les 10 millions de dollars du butin avant de se faire prendre. Pour récupérer le magot, Vincent, son ex-complice, kidnappe Alison. Will a 12 heures pour trouver la somme s’il veut libérer sa fille. Sa seule chance de la sauver est de monter le coup le plus audacieux de sa carrière…
Vu et revu, ce petit film se laisse voir par une chaude après-midi d'été afin de tester la clim' de votre salle préférée. Malgré les nombreux trous d'air dans le scénario permettant de faire avancer ce pauvre Will dont la fillette est enfermée dans le coffre d'un taxi en plein carnaval de la New-Orleans ! Vous constaterez à quel point il est facile d'entrer dans les bureaux du FBI, de subtiliser un badge et d'aller chercher des informations précieuses pour sauver la petite. Il faut dire que le FBI est un tantinet bouché et refuse de croire à l'histoire de Will et donc de l'aider ! Il faut bien qu'il se débrouille et il est malin notre Will.
Nick Cage seul en scène ou presque, est en forme malgré ses presque 50 ans. Il court beaucoup et à un moment sur le toit des voitures, j'ai bien cru qu'il allait se mettre à chanter Love me tender, car Nick, Sailor forever, chante Love me Tender comme personne. Mais non, il ne chante pas. Et oui Nick Cage a été un grand acteur...
Plus romantique, you die
Et, grand seigneur, d'une sobriété capillaire décevante, il laisse à Josh Lucas le soin de se ridiculiser avec une coupe improbable.
avant :
après :