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STATES OF GRACE de Destin Cretton °

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Synopsis : Sensible et déterminée, Grace est à la tête d'un foyer pour adolescents en difficulté. Parmi les jeunes membres de son équipe, diversement expérimentés, la solidarité et le bon esprit sont de mise. Jusqu’à l’arrivée soudaine d’une fille tourmentée qui ignore les règles du centre et renvoie Grace à sa propre adolescence… pas si lointaine.

Lors de la première scène ridicule à souhait, un des éducateurs du centre, Mason, raconte à trois collègues comment il s'est chié dessus, a bousillé ses baskets alors qu'il avait mangé trop de chili et qu'il était à la poursuite d'un ado.

 

Consternant, digne de Judd Appatow ou pire de Chris Weitz et le film se clôt sur la même scène au même endroit, avec les mêmes personnages mais cette fois Mason parle de son pipi. Je crois.

 

Voilà les deux moments où ce film impressionnant de maladresses et de guimauve est censé faire sourire. Enfin j'imagine. Sinon, pourquoi ces deux histoires ? Je ne sais.

 

Entre les deux, un empilement de clichés, de scènes convenues, absolument toutes téléphonées, vues et revues, prévisibles et sans surprise donc.

 

L'ado black fait du rap, la fille à papa asociale, solitaire, agressive devient un ange en deux conversations, les psys sont des cons, l'éduc' chef, la fameuse Grâce, fait plus jeune que ses pensionnaires et a plus de traumas que les jeunes qu'elle est censée aider.

 

On ne s'attache à aucun personnage. Les scènes sont hystériques ou mielleuses ou aberrantes ou bancales. Rien ne tient la route. Les personnages sont des caricatures ou des stéréotypes. Et la Grace, fille perdue cheveux gras, qui attire tant les dithyrambes m'a semblé totalement transparente et bien gnangnan.

 

Le seul qui attire l'œil et l'attention est John Gallagher Jr  bien qu'il soit attifé, coiffé comme un clodot et qui est chargé de dire : "tu es la personne la plus belle, merveille et intelligente que j'aie jamais connu", ce qui prouve qu'il peut être un grand acteur, quand il ne se chie pas sur les pompes bien sûr.

Commentaires

  • Des critiques élogieuses dans la presse m'avaient donné envie, du coup j'hésite... :)

  • Franchement c'est cette même presse unanime qui ne m'a pas fait hésiter.
    Mais j'allais de surprise en consternation ! Quel ennui en plus !!!

  • C'était tout de même à la fois décevant tellement ça manquait d'originalité. Puis putain, marre des gens compliqués ! J'espérais presque que ça finisse un peu en cacahuète mais comme a dit my english teacher : les films américains souvent beaucoup de héros sont égocentriques et il faut que ça se termine bien. Pour ce film là, ça se vérifie.

  • ben c'est pas si compliqué que ça finalement.
    Le "cas" le plus "creusé" est celui de l'inceste.
    Ras le bol.

  • Nous voilà bien divisées...

  • Je me suis vraiment beaucoup ennuyée,
    et j'ai trouvé les rapports faux et fatigants.

  • Oui oui, j'avais bien compris ton point de vue :) que je ne partage pas ! Ca m'étonne car on est 4 à l'avoir vu, dont ma soeur qui est justement éduc spé, et 4 à avoir trouvé ça très juste et touchant... comme quoi !

  • Oui le cinéma quoi !
    Je poussais des soupirs à fendre l'âme.

  • State of Grace est probablement l’un des meilleurs films que j’ai vus ces dernières semaines. Je l’ai découvert en streaming via l’application https://play.google.com/store/apps/details?id=virgoplay.vod.playvod et je me suis vraiment régalé en le visionnant. C’est définitivement un long-métrage que je recommande à tout le monde. Pour en savoir plus sur cet opus, je vous propose de vous rendre sur les sites telerama.fr, cinefil.com ou encore https://www.actucine.com/ .

  • Comme tu as peut-être vu je n'ai pas aimé et comme il date d'avril...

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