ARTHUR NEWMAN *
Wallace Avery ne supporte plus sa vie. Divorcé et insatisfait en amour, (faut dire que la coiffure de sa nouvelle chérie en ferait fuir plus d'un...)
il a même laissé la distance s’installer entre lui et son fils (on peut comprendre, aucun parent ne sait que son mignon bébé tout joli va un jour devenir ADO !!!). Il opte alors pour une solution radicale : il met en scène sa propre mort, (ça c'est bien, cette scène là est la meilleure du film) s’achète une nouvelle identité – Arthur Newman – et met le cap sur son paradis personnel – Terre Haute dans l’Indiana – où il espère pouvoir devenir golfeur professionnel (c'est pas ça du tout... celui qui a écrit le synopsis n'a pas vu le film... il veut aller travailler dans un centre où on pratique le golf, devenir entraîneur quoi) . Car pour avoir droit à une deuxième chance, Wallace estime qu’il lui faut se glisser dans la peau de quelqu’un d’autre. Mais ses plans sont remis en question quand il croise la route de Michaela Fitzgerald qu’il découvre sans connaissance au bord de la piscine d’un motel (c'est pas exactement ça non plus, mais bon on va pas chipoter). Tandis qu’elle met deux heures à comprendre qui se cache derrière «Arthur Newman», il faut bien plus de temps à Wallace pour percer à jour la véritable identité de la jeune femme… Peu à peu, ces deux êtres qui tentent désespérément de changer d’identité s’accepteront tels qu’ils sont et s’éprendront l’un de l’autre…
Oui donc un jour tu vas au ciné en te disant que tu vas voir une romcom qui ne va pas révolutionner le genre mais au moins te détendre et te permettre de te rincer l'œil (Coliiiin !!!).
Et tu te retrouves devant un double psychodrame familial triste comme un jour sans pain.
Et là tu te dis : trahison. D'autant que le couple Colin Firth Emily Blunt ne fonctionne pas du tout. Je ne sais trop à quoi ça tient mais je n'y ai pas cru. Pourtant ils sont trop trop beaux, ça, aucun doute !
Lui il fait très bien l'amoureux fou transi, mais elle, a l'air de s'en foutre comme de l'an 40.
Bref, on s'en fiche. Et ça finit dans la bonne conscience et la normalité larmoyante.
Et de toute façon, Newman y'en a qu'UN.
Commentaires
Je t'avais dit d'ouvrir un bon bouquin
ça m'a pas empêchée !
Déjà tu vois l'affiche, on dirait son père
Et que bientôt elle va quitter la maison
ah ah ah
Ils sont pas assortis jte dis !
C'est vrai ça ! On dirait son père.
Même en avion, je ne le regarderai pas. Voilà.
ça colle pas entre eux !
Mais que va faire Colin (oh Colin) dans l'Indiana ???
Se perdre...
Ce n'est pas qu'une question de différence d'âge : dans le film qu'Emily Blunt a fait avec Bill Nighy il y a quelques années, ça ne marchait pas mal du tout (alors que pour le coup, il aurait pu être son grand-père (oui je suis méchante)(mais ce film-là était marrant, au moins)).