SOUS LES JUPES DES FILLES d'Audrey Dana °°
Synopsis : Paris. 28 premiers jours du printemps. 11 femmes.
Mères de famille, femmes d'affaires, copines, maîtresses ou épouses...Toutes représentent une facette de la femme d'aujourd'hui. Complexes, joyeuses, complexées, explosives, insolentes, surprenantes... Bref, un être paradoxal, totalement déboussolé, définitivement vivant, FEMMES tout simplement !
Après le consternant Les Gazelles de Mona Achache qui parlaient des trentenaires... pourquoi me suis-je à nouveau laissé avoir avec cette fois les élucubrations des quarantenaires voire plus (Isabelle Adjani fait partie du casting, et on a de la peine pour elle...) ? Sans doute l'envie de voir un film léger pour palier la lourdeur des événements récents de ma vie (oui je sais, je risque de radoter...). Hélas en guise de légèreté on assiste atterré à une évocation patapouf de la vie des femmes, leurs doutes, leurs erreurs, leurs règles et leurs pets. Car oui, les femmes pètent. Fallait-il un film pour nous en assurer ? Nous savions déjà que Julianne Moore avait des difficultés à faire caca. Mais Laetitia Casta pète mesdames et messieurs et Audrey Dana s'enfile un Tampax sans se laver le doigt !
Comment réussir à réunir ce casting féminin quatre étoiles pour accoucher de cette ânerie sans style, sans queue ni tête, sans suite, sans intérêt avec un final d'une stupidité sans nom ? Bravo à Audrey Dana qui ne s'épargne pas la palme du ridicule dans l'hystérie mais qu'elle partage allègrement avec Julie Ferrier, absolument et de plus en plus insupportable avec un rôle à tics dont on ne comprend jamais l'intérêt, Géraldine Nakache enlaidie comme il n'est pas permis, Audrey Fleurot en roue libre dans son rôle désormais unique de grande bourgeoise méprisante, Alice Belaïdi en nunuche tête à claques, Sylvie Testud, hypocondriaque qui ose se réjouir de découvrir qu'elle a un cancer (non, je ne peux plus rire de tout et surtout pas du cancer, maladie mortelle)...
Miraculeusement, s'en sortent Vanessa Paradis dans un rôle de composition de peste qui aimerait ne plus l'être, Marina Hands dans celui de mégère et Alice Taglioni un peu ailleurs et totalement homosexuelle.
Malgré ce trio de tête, ce film est à fuir de toute urgence.
Commentaires
Je n'ai vu que "la ritournelle" ces temps-ci (en présence de Fitoussi, Isabelle Huppert et JP Darroussin). C'est sans conteste la scène du cirque qui me restera en mémoire, elle est merveilleuse.
Magnifique en effet.
Putain voui VAL KILMER !
Damned
Bon ben j'ai rien vu À se demander ce que je quiche de mes journées
Val est devenu GRAS... Une vraie boule...
Ta vie Un jour sans fin P.