JURASSIK WORLD de Colin Trevorrow **(*)
Synopsis : L'Indominus Rex, un dinosaure génétiquement modifié, pure création de la scientifique Claire Dearing, sème la terreur dans le fameux parc d'attraction. Les espoirs de mettre fin à cette menace reptilienne se portent alors sur le dresseur de raptors Owen Grady et sa cool attitude.
Voilà un bon divertissement comme je les aime : sans grande surprise certes (quoique... une scène de pure torture sadique où une fille est emportée par des dinos volants, balancée de l'un à l'autre, lâchée dans l'eau... et là, on se dit "ouf... sauvée la fille !!", ben non, elle est récupérée par des dinos aquatiques qui se la refilent pendant un moment la laissant dans le doute : "vais-je m'en sortir ou bien pas...") mais surtout SANS DECEPTION !
Deux heures avec des dinosaures ?
Je ne les ai pas vues passer.
Tout va vite et le réalisateur est tellement :
a) malin,
b) fervent adulateur,
qu'on ne voit pas la différence entre ce film-ci et celui de... pu... rée !!! 1993 réalisé par Steven Spielberg himself.
Evidemment les moutards d'aujourd'hui qui voient, comme c'est assez intelligemment exprimé dans le film "des dinosaures comme des éléphants au zoo", verront l'entreprise avec la moue blasée qu'on leur connaît, mais nous, en 1993, même si nous n'étions plus des moutards merci de me le rappeler nous avions pris ce film en pleine tronche comme une aventure audacieuse et totalement barrée parce que sans doute nous savions encore rêver. Et nous avions aussi le bénéfice de la nouveauté.
Ah Spielberg nous a quand même emmenés loin... Fin de la parenthèse nostalgie.
Colin Trevorrow (le réalisateur) met le paquet en reprenant le thème musical principal et franchement magnifique de John Williams (tu cliques, tu écoutes, et tu pleures) et il achève la/le cinéphile en mal de souvenirs en ouvrant une porte vers le "vieux" Jurassic Parc tout à l'abandon, envahi par les mauvaises herbes et en remettant en route une Jeep Wrangler.
Non mais tu te rends compte, UNE JEEP WRANGLER ???
Commentaires
Sur l'affiche, ils n'ont pas l'air de faire vraiment 12cm les talons.
Sinon, oui oui, j'y vais. Moi j'avais 11 ans en 1993, mais j'étais impressionnable, et je n'ai pas vu les suivants non plus, alors des dinos sur grand écran je n'en ai jamais vus.
Quand tu cours dans la jungle le moindre talon fait 12 !
Et elle assurer la Brice sur ses échasses !
Quand le brushing en prend un coup dans l'aile je trouve que le résultat est plus joli.
Moins badass en soi, paradoxalement, que le lissage "ice princess", mais vraiment plus seyant.
Le lissage, ça va bien 5 minutes.
Elle doit être sublime chauve ou avec les cheveux gras de toute façon.
Le genre "tout lui va".
faux! il y a bien un acteur de 93....il s agit du scientifique d origine asiatique dont je ne me souviens plus du nom
L'acteur s'appelle BD Wong. Certains l'ont peut-être remarqué en psychologue dans la série policière "New York Unité Spéciale". Lui qui interprète plutôt des "nice guys" a ici un rôle moins positif.
Le pauvre, on oublie son visage, on oublie son nom.
Je ne connais pas cette série.
Pauvre BD.
Ça faisait longtemps ! Mais je dois avouer être plus au fait du maquillage que des sorties cinés (très surfait Hummmm)
Mais... Je suis allée voir ce film excellent!
Jai balayé tes derniers films et je n'ai pas vu un que je suis allée voir récemment même si ce n'est pas un film : vice versa. Et bien j'ai trouvé l'idée bien trouvée, des passages un peu longs mais au global assez drôle et j'ai même été émue...
L'émotion c'est primordial,
et le maquillage aussi :-)