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LES AUTRES FILMS DE FÉVRIER 2016 - CHOCOLAT de Roschdy Zem - DEADPOOL de Tim Miller - UN JOUR AVEC, UN JOUR SANS de Sang-soo Hong - LES INNOCENTES d'Anne Fontaine - JE NE SUIS PAS UN SALAUD d'Emmanuel Finkiel - THE FINEST HOURS de Craig Gillepsie

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CHOCOLAT de Roschdy Zem **

avec Omar Sy, James Thiérrée, Clotilde Hesme...

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Synopsis : Du cirque au théâtre, de l'anonymat à la gloire, l'incroyable destin du clown Chocolat, premier artiste noir de la scène française. Le duo inédit qu'il forme avec Footit, va rencontrer un immense succès populaire dans le Paris de la Belle époque avant que la célébrité, l'argent facile, le jeu et les discriminations n'usent leur amitié et la carrière de Chocolat. Le film retrace l'histoire de cet artiste hors du commun.  

 

J'aurais aimé aimer davantage mais le film, plein de bonnes intentions, de bons sentiments et de quelques tentatives pour parler de racisme est un peu trop sage et l'émotion curieusement absente. D'ailleurs, je l'ai davantage ressentie dans le personnage de Footit, tellement appliqué en clown triste, vraiment triste, qui ne rit jamais. Et son homosexualité, refoulée, balayée en une scène comme si elle n'était pas aussi la source de cette profonde amertume.

 

Le film se regarde avec intérêt et sans ennui malgré des rôles bâclés (pauvre Clotilde...) mais celui qui emporte définitivement le morceau c'est James Thiérrée. Evidemment je ne peux nier que je suis particulièrement sensible à cette espèce de réincarnation de son grand-père, mais au-delà de cette ressemblance troublante, l'acteur-acrobate est magnétique et beaucoup plus émouvant parce que beaucoup plus mélancolique que son partenaire.

 

L'interprétation d'Omar Sy est correcte et sincère mais je n'ai jamais réellement vu le personnage Chocolat, mais toujours Omar jouant Chocolat et cela m'a gênée.

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LES INNOCENTES d'Anne Fontaine **

avec : Lou de Laâge, Vincent Macaigne, Agata Buzel

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Synopsis : Pologne, décembre 1945. Mathilde Beaulieu, une jeune interne de la Croix-Rouge chargée de soigner les rescapés français avant leur rapatriement, est appelée au secours par une religieuse polonaise. D’abord réticente, Mathilde accepte de la suivre dans son couvent où trente Bénédictines vivent coupées du monde. Elle découvre que plusieurs d’entre elles, tombées enceintes dans des circonstances dramatiques, sont sur le point d’accoucher. Peu à peu, se nouent entre Mathilde, athée et rationaliste, et les religieuses, attachées aux règles de leur vocation, des relations complexes que le danger va aiguiser.

 

Quel grand et beau film cela aurait pu être si Anne Fontaine n'avait pas parasité cette histoire forte par une historiette d'amour anecdotique mais envahissante, pas crédible pour un złoty, sans intérêt et complètement hors sujet. Je n'en peux plus des airs faussement contrits de Vincent Macaigne qui tente toujours, film après film, d'excuser sa façon lourdingue de draguer par le fait qu'il n'est pas un canon et que derrière sa calvitie précoce, ses poignées d'amour et son humour penaud se cache un cœur tendre ! Non Vincent, tu fais erreur, ce n'est pas tant ton physique qui dérange, c'est que tu es COLLANT ! Bref. 

 

L'histoire de ces femmes à la vie brisée par les actes abominables de quelques sauvages (ils sont revenus trois fois...) suffisait largement. D'autant qu'il ne s'agit pas de femmes ordinaires puisqu'elles sont toutes des nonnes qui ont fait vœux de chasteté et se retrouvent dans une situation imprévisible qui remet en question plus que leur propre vie. La relation qui s'instaure peu à peu entre elle et la jeune femme médecin qui gagne leur confiance aurait mérité plus d'attention car elle est bien belle mais traitée avec trop de recul.

 

La toute jeune et magnifique Lou de Laâge campe solidement cette jeune médecin qui se met en danger.

 

Mais Vincent Macaigne médecin : non, définitivement NON !

 

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DEADPOOL de Tim Miller **

avec Ryan Reynolds, Morena Baccarin, Ed Skrein

                                         

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Synopsis : Deadpool, est l'anti-héros le plus atypique de l'univers Marvel. A l'origine, il s'appelle Wade Wilson : un ancien militaire des Forces Spéciales devenu mercenaire. Après avoir subi une expérimentation hors norme qui va accélérer ses pouvoirs de guérison, il va devenir Deadpool. Armé de ses nouvelles capacités et d'un humour noir survolté, Deadpool va traquer l'homme qui a bien failli anéantir sa vie.

 

Voilà typiquement le genre de film dont on sent confusément qu'il faut se justifier voire s'excuser d'y avoir ri. Ou alors on parle de plaisir régressif pour faire chic et pas cher. Et bien je l'admets, j'ai ri. Je ne sais si c'est le fait que je l'ai vu un jour où j'avais plus que jamais besoin de me sortir d'un quotidien usant... et bien que je n'ai l'impression d'apprécier l'humour pipi caca prout bite couille qu'à petites doses (j'ai toujours fui Judd Appatow et les American Pie) et qu'ici il n'y a QUE cet humour, mais j'ai ri. Et pas mal d'ailleurs, si je me souviens bien.

 

Evidemment autour de Ryan Reynolds gravitent quelques acteurs de deuxième ou troisième zone sans envergure, uniquement là pour lui servir la soupe, mais je dois dire que ce super héros mal embouché m'a fait passer un bon moment. Et pour une fois ce mochtron de Ryan Reynolds, caché sous son masque et ses problèmes dermatos ne m'a pas exaspérée. Il m'a même plutôt agréablement surprise en super héros atypique car je ne le croyais pas capable de faire autant le con. Reconnaissez que ce film partait avec plusieurs handicaps !

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UN JOUR AVEC, UN JOUR SANS de Sang-soo Hong ***

avec Jae-yeaong Jeong, Kim Min-Hee, Yeo-jeong Yoon

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Synopsis : Le réalisateur Ham Cheonsoo arrive un jour trop tôt dans la ville de Suwon, où il a été invité à parler de son oeuvre. Il profite de cette journée d’attente pour visiter un palais de la ville. Il y rencontre Yoon Heejeong, une artiste locale avec laquelle il va discuter, dîner, boire… Mais il n’est pas tout à fait honnête avec Yoon Heejeong.

 

Je ne comprends pas bien le synopsis qui dit que Yoon Heejeong n'est pas honnête. Je dois dire que pas mal de jours ont passé depuis que j'ai vu le film et qu'il ne m'en reste que de belles images, somptueuses même, un magnifique couple dont on ne sait pas immédiatement s'il se connaît ou pas. Mais je n'ai plus de détails...

 

La grosse surprise arrive en plein mitan. Le réalisateur ose un générique quitte à perdre du public en route et recommence la même histoire, les mêmes plans, la même errance mais d'un autre point de vue avec une autre issue et une scène de larmes de l'acteur principal où il est difficile de retenir les siennes.

 

C'est beau, magnifique et volatile donc.

 

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THE FINEST HOURS de Craig Gillepsie **

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Avec : Casey Affleck, Chris Pine, Ben Foster

 

Synopsis : Le 18 février 1952, l’une des pires tempêtes qu’ait jamais connues la côte Est des États-Unis s’abat sur la Nouvelle-Angleterre. Elle ravage les villes du littoral et détruit tout sur son passage, y compris deux pétroliers de 150 mètres. Le SS Pendleton et le SS Fort Mercer, en route respectivement pour Boston (Massachusetts) et Portland (Maine), sont littéralement brisés en deux. Les équipages restent piégés à l’intérieur des navires voués à sombrer rapidement. Le premier assistant mécanicien Ray Sybert, officier responsable à la poupe du Pendleton, réalise très vite qu’il lui appartient de prendre en charge des marins terrifiés et de les amener à travailler ensemble pour maintenir le navire à flot le plus longtemps possible. Alors que les garde-côtes de Chatham (Massachusetts) font de leur mieux pour aider les pêcheurs à protéger leurs bateaux de la tempête, ils apprennent que les deux pétroliers en détresse dérivent au large du cap Cod. Le premier maître Daniel Cluff, récemment nommé à la tête du poste de secours, envoie immédiatement à la rescousse le bateau de sauvetage CG 36500, sous le commandement du capitaine Bernie Webber. Ce dernier et son équipage de trois hommes se lancent dans une périlleuse mission à bord de leur embarcation sous-dimensionnée au regard des éléments déchaînés, un canot de bois de 11 mètres. Avant même qu’ils soient sortis du port, ils perdent le pare-brise et le compas de navigation. Pourtant, les quatre hommes persévèrent, et malgré des vents de la force d’un ouragan, des vagues de 20 mètres de haut, des températures glaciales et une visibilité quasi nulle, ils parviennent miraculeusement à localiser le Pendleton. Au prix d’efforts inouïs, ils vont réussir à sauver 32 hommes sur les 33 que compte l’équipage. Affrontant la colère destructrice de l’océan, 36 hommes, réfugiés sur un bateau prévu pour 12, vont tout faire pour rentrer chez eux.

 

Evidemment ce qui a attiré mon œil vers cette affiche et guidé mes pas en salle est la présence de MON Casey Affleck. Et j'ai bien fait, il est parfait dans un rôle dans lequel on ne l'attend pas forcément. Vous imaginez ce ptit choupinou d'amour en capitaine de pétrolier ? Capable de redonner le moral vacillant à des troupes qui ne l'apprécient pas.

 

Sur terre, avant qu'il ne se lance en mer, sévit Chris Pine qui la joue gnangnan mou du genou, mais bon faut faire avec.


Et puis sinon, que d'eau, que d'eau !  Et encore, monsieur le Maréchal, vous ne voyez que le dessus. Les scènes de bravoure spectaculaires se succèdent mais les effets spéciaux sont tellement zarbis qu'on a du mal à comprendre comment cette coquille de noix envoyée à la rescousse d'un navire dans un endroit dont normalement on ne revient pas, parvient à réussir le sauvetage. En tout cas, ça remue, ça donne un mal de mer de folie et c'est un peu long. Mais ça m'a rappelé les films d'antan qu'on voyait à la télé le dimanche après midi en noir et blanc. Oui d'accord, ça n'a pas l'air très positif dit comme ça.

 

Ah si, il faut que je vous dise. Le chef des garde-côtes c'est Eric Bana. Non mais Eric Bana !!! Qu'est-ce qu'il y connaît à l'océan celui-là ? Pas étonnant qu'il envoie ses hommes au casse-pipe alors que lui reste au sec. C'est plus fort que moi, ce type là, je n'arrive jamais à l'imaginer sans ses culottes bouffantes et ses petites oreilles à l'horizontale.


Et curieusement au milieu de tous ces mecs, une toute jeune femme inconnue de ce blog parvient à tirer son épingle à cheveux de ce jeu méchamment testosteroné. Holliday Grainger elle s'appelle, si c'est pas un nom de star ça !

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JE NE SUIS PAS UN SALAUD d'Emmanuel Finkiel **

 

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Synopsis : Lorsqu’il est violemment agressé dans la rue, Eddie désigne à tort Ahmed, coupable idéal qu’il avait aperçu quelques jours avant son agression. Alors que la machine judiciaire s’emballe pour Ahmed, Eddie tente de se relever auprès de sa femme et de son fils et grâce à un nouveau travail. Mais bientôt conscient de la gravité de son geste, Eddie va tout faire pour rétablir sa vérité. Quitte à tout perdre…

 

Certes Eddie n'est peut-être pas un vrai salaud, mais il n'a pas oublié d'être un foutu con. Oui je sais je juge un personnage et juger c'est le mal et blablabla... Mais reconnaissons qu'il est absolument impossible d'entrer en empathie voire même de trouver des justifications à ses comportements. Malgré toutes les perches qui lui sont tendues pour revenir sur sa décision d'accuser un homme qu'il sait innocent, Eddie enchaîne connerie sur connerie. Sa femme (vaillante Mélanie Thierry) dont il était séparé le récupère après son agression et se met à croire que quelque chose de bon sortira de cet alcoolique violent et paresseux.

 

Eddie est pathétique. Lorsqu'on lui donne sa chance en lui proposant un boulot, il s'estime trop bien pour ce travail et souhaiterait un autre poste. Malgré les preuves de l'amour de sa femme, il se met à être maladivement jaloux. Même son fils, dont on se dit qu'il va avoir du mal à se sortir de la téci, subira son agressivité.


Evidemment, il y a cette scène à l'hôpital, PARFAITE, exactement la réalité telle que je l'ai vue et revue, une infirmière entre dans sa chambre en huuuuuuurlant, balance les 8000 watts des néons  et stridule de sa voix de crécelle : "BONJOUUUUUUUR ! IL A BIEN DOOORMIII. ATTENTION ELLE VA OUVRIR LE RIDEAU !" et lorsqu'elle lui demande quel est selon lui sur une échelle de 1 à 10, le niveau de sa douleur, elle ne lui donne pas le temps de répondre et passe à autre chose. A cet instant, ratatiné au fond de son lit, le visage boursouflé des coups qu'il a reçus, Eddie fait vraiment peine à voir et on a le sentiment, l'illusion plutôt que pour la première fois il sent qu'on s'occupe de lui, qu'on s'intéresse à lui.

 

Dès sa sortie de l'hôpital, sa vie à cause de ses décisions ne va être qu'une continuelle dégringolade. Nicolas Duvauchelle s'empare de ce rôle avec sa rage et sa douleur. Lors d'une scène de tribunal particulièrement éprouvante, il est bouleversant.

Commentaires

  • "Et encore, monsieur le Maréchal, vous ne voyez que le dessus." Mais qu'elle est bonne, celle-là ! Comment l'histoire n'a-t-elle pas retenu le nom de ce préfet au sens de l'humour si parfait ?
    Je n'ai rien vu de tout ça à part Deadpool, et je pense que comme moi tu as ri beaucoup nom pas à cause de la nature de l'humour pipi caca prout bite couille, mais à cause de son intensité car il explose toutes les limites.
    J'irais bien voir celui avec Duvauchelle, tiens. Qui forcément aurait été moins vendeur s'ils s'était intitulé "Je suis un foutu con".

  • Exceptionnel non le préfet ?
    Ben dis donc, tu lis toi au moins. Cela ne cesse de m'épater.

    L'humour prout etc... aurait pu être lassant mais ce n'est pas le cas sans doute parce que comme tu dis, ce personnage repousse loin les limites.

    Quant au Duvauch', je me demande si justement ça n'aurait pas été plus vendeur "Je suis un foutu con" (ce qu'il est... enfin, le personnage) ; au moins les gens seraient venus vérifier.
    Hélas il ressemble à des gens que j'ai déjà croisé, bas de plafond, ras du bulbe !

  • Mais évidemment que je lis, pourquoi tu écrirais si ce n'était pour qu'on te lise ?
    Tu as le chic pour trouver LA photo de James Thierrée qui est vraiment parlante quant à son ascendance, parce que personnellement je n'avais pas vu la ressemblance avant, et vu que lui a choisi de ne pas utiliser le célèbre patronyme, il ne s'annonce pas comme "fils de" et ça ne saute pas immédiatement aux yeux.

  • Ben oui j'écris aussi pour qu'on me lise mais toi tu prouves que tu le fais.
    Et je pense que beaucoup doivent lire en diago.

    Il est pas fils de mais petit fils de et il porte le nom de son papounet. C'était sa maman (Victoria Chaplin) qui est fille de...
    Mais c'est fou, mêmes cheveux, mêmes mèches rebelles et le bas du visage.
    J'aime d'amour cette famille.
    Il peut pas renier :-)
    http://i.skyrock.net/7531/16737531/pics/581351518_small.jpg

    Et comme le monde est petit. Hier je re re re voyais Reds de Warren Beatty. Et dedans il y a Eugène O-Neil (amoureux de Louise, femme de Jack Reed, héros du film) et ben c'est le père d'Oona, femme de Charles. Eugène a d'ailleurs renié sa fille et ne l'a plus jamais revu car elle avait 18ans et Charlot + de 50. Et ils ont fait 8 enfants ensemble...

  • Je sais qu'il est petit-fils de, mais si je comprends bien il est aussi fils de, mais moins connu, mais il porte le nom de son papounet contrairement à sa cousine Oona qui non seulement porte le prénom de sa grand-mère mais aussi a choisi d'utiliser le nom de sa mère, donc de son grand-père, alors qu'en vrai à l'état civil elle s'appelle Castilla, elle est donc aussi fille de du côté paternel et aurait très bien pu ne pas jouer la carte Chaplin, d'autant qu'elle a une telle ressemblance avec sa mère que ce n'était pas vraiment nécessaire.

  • Oh putain, je ne savais pas que je parlais à la généalogiste officielle de la famille. Mais on s'est vaguement éloigné de Jimmy et Charlie.

  • On s'éloigne vaguement mais sans sortir du sujet. Mais j'aime bien Oona. Et je ne demande qu'à aimer Jimmy. Bref, la photo est parlante.

  • Certes, on reste dans la famille tentaculaire.
    Je rêverais de voir les spectacles de Jimmy...
    Tiens, tombe en amour et compte les abdos:https://youtu.be/vXBkpXvW6-A

  • Chocolat est un film intéressant, nécessaire malgré son côté scolaire. Je regrette juste un réalisateur plus solide derrière, parfois ça manque de subtilité. Sy est très bien mais c'est vrai que Thierrée sort du lot !

  • Tout est bien en effet (avec Thiérrée qui domine) mais...

  • Dans toute cette longue liste, je n'ai vu que "Chocolat", qui m'a vraiment bien plu - malgré quelques petits bémols que tu relèves avec justesse. James est meilleur que Omar, je pense aussi, mais il a aussi sans doute plus de vécu du côté du dramatique.

    J'ai failli aller voir "Les innocentes" et le film coréen me tente un peu. Je ne suis pas sûr que j'aurais le temps de le rattraper, parce qu'à vrai dire, je n'ai pas spécialement envie de pleurer au cinéma en ce moment.

    Merci pour ces courtes évocations de tes autres séances.

  • Omar fait beaucoup d'efforts pour aller vers le drame mais c'est fou, il pète trop la santé et je n'ai vu qu'Omar.

  • Je n'ai vu que "les innocentes" dans tous ces films et je lui aurais mis une étoile de plus que toi. Je suis d'accord sur Macaigne, il m'horripile complètement, mais le reste est tellement fort que j'ai été emportée par cette histoire. J'étais vaguement tentée par "je ne suis pas un salaud", tu viens de me passer l'envie là ...

  • Tu as raison Les innocentes mérite une étoile de plus étant donné la belle interprétation des filles.
    Nicolas Duvauchelle est vraiment bon voire magnifique par moments, mais le personnage... Comment rater toutes les occasions qu'on te donne ? Il a toutes les réponses.

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