FESTIVAL INTERNATIONAL DU PREMIER FILM D'ANNONAY 2016
L'ARRIVÉE
Après, comme il se doit, un passage délicat à l'approche de Lyon
Je traverse le pont et la ville où le dimanche sied le Marché aux Boudins !!! (je n'y suis jamais allée pour vérifier).
J'arrive enfin à Annonay, toujours autant chargée de tant et tant de souvenirs depuis 11 ans maintenant... et prends possession de mes appartements à L'Hôtel du Midi (je vous en parle plus tard).
Quelques heures après, il est temps d'attaquer les festivités avec le film d'ouverture en avant-première Rosalie Blum (je vous en parle plus tard), en compagnie du réalisateur Julien Rappeneau et d'une des actrices principales Alice Isaaz.
Le beau théâtre brille de toutes ses lumières.
La somptueuse salle refaite à neuf il y a deux ans est comble de la cave au grenier d'un public impatient.
Le Festival est déclaré ouvert par Marianne, Directrice Générale du Festival.
Gaël, Directeur artistique accueille Julien Rappeneau et Alice Isaaz, et présente le film à venir avec son enthousiasme habituel.
Je retrouve Rachel (photographe officielle du Festival, c'est elle qui est "responsable" de la belle photo de Mouche et moi à l'occasion du défi de 2012 où il avait été demandé à certains couples d'écrire à propos de leur aventure amoureuse...). Je lui fais tous mes compliments concernant le site du Festival qu'elle a entièrement relooké.
Je croise Gaëlle (qui me remet mon accréditation) et Marianne, rapidement. Elles sont overbookées c'est évident mais nous aurons l'occasion de nous voir d'ici la fin. Je vois très vite fait aussi, Florence (la femme du dirlo qui a intérêt à me trouver un créneau pour une bouffe en tête à tête comme on fait tous les ans) et sa maman. Et puis Fabienne (ex. responsable de la Feuille).
A l'issue du film, il est de coutume de se retrouver au Nid du Festival, bondé comme il se doit. Gaël, Fabienne et moi décidons d'aller boire un verre et de s'alcooliser. Ils envisagent... une eau pétillante !!! Je sens qu'on va rigoler. Sauf que le Nid est tellement bourré comme un œuf, qu'atteindre le bar est une épreuve et que lorsqu'on y parvient, on nous annonce qu'il n'y a plus de verres ! Gaël décide de rester là quand même, Public Relations obligent, et Fabienne et moi nous rendons dans ce lieu de débauche :
Et là, miracle, prodige et béatitude (je ne sais JAMAIS quoi boire dans un troquet), je découvre que ce breuvage, véritable élixir de jouvence, existe toujours :
Evidemment cette boisson fait beaucoup roter, mais Fabienne (qui a l'extrême délicatesse de me dire sans rire que le temps n'a pas de prise sur moi... Je souhaite d'ailleurs que dorénavant on s'adresse à moi en ces termes !) est indulgente et n'en revient pas qu'une boisson puisse provoquer autant de joie !
A suivre...
Commentaires
Message reçu ! Tu manges au nid demain midi ? (et ça s'est réchauffé au théâtre ???° Bises
Ah c'était un test pour voir si tu me lisais :-)
Moi j'ai pas eu froid je suis une chaudasse,
au contraire, du coup ça sent moins le phoque je trouve !
12 h 14 au Nid !