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Ce matin en me réveillant, je me suis demandée s'il resterait assez du bowl de légumes que j'ai préparé hier quand Mouche rentrerait.
Pas de doute, "on" avance...
Et pendant ce temps à Vera Cruz, certains se demandent encore :
J'ai cessé de me poser la question.
En vrai, on s'en fout.
Chantons.
Si tu ne pars pas, je vais te donner ma vie
Si tu ne pars pas, tu sauras qui je suis
Tu auras ce que très peu de gens ont
Beaucoup, beaucoup d'amour
Combien je donnerais pour te voir une fois de plus
Amour de ma vie
Mon Dieu, si tu pars
Tu vas me faire pleurer
Comme quand j'étais enfant
Si tu t'en vas
Mon monde va finir
Le monde où toi seul existe,
Ne pars pas,
Je ne veux pas que tu partes
Parce que si tu pars
A ce moment précis je meurs... je meurs...
Commentaires
Il y a des plaies impossibles à refermer.
Il semblerait. J'ai cessé d'essayer de cautériser.
Un deuil n'est jamais fini, mais s'adapte...
Ce doit être ça, on fait avec, merci.
Il y a des "anniversaires" plus douloureux que d'autres...
J'aime beaucoup cette citation de Yourcenar :
Il ne faut pas pleurer parce que cela n'est plus, mais sourire car cela a été.
Oui, ce n'est pas toujours simple.
Parfois la citation de Marguerite fonctionne, d'autres fois moins et c'est plutôt, pourquoi çana pas continué ? :-)
Je n'ai que peu de mots. Mais j'ai pensé à lui. Et donc à toi.
Merci Martin :-)