En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Avec Arieh Worthalter, Arthur Harari, Jeremy Lewyn, Nicolas Briançon, Stéphan Guérin Tillié Jerzy Radziwilovicz
Novembre 1975 en France se tient le second procès de Pierre Goldman. Ce militant d'extrême gauche est soupçonné d'avoir tué deux pharmaciennes lors d'un braquage.
Les regards timides et introvertis d'Ansa et Holappa se croisent lors d'une soirée karaoké dans un bar. Est-ce le début d'une grande histoire d'amour ?
Avec Fabrice Luchini, Mara Taquin, Maud Wyler, Juliette Metten, Veerle Baetens, Sandrine Dumas, Anne Consigny, Aurélia Thiérrée
Joseph un type bougon et misanthrope restaure de jolis meubles dans sa maison isolée aux alentours de Bordeaux. La sonnerie du téléphone l'agace, le dérange mais il finit par répondre.
Avec Vincent Lacoste, François Cluzet, Adèle Exachopoulos, Louise Bourgoin, William Lebghil, Lucie Zhang, Théo Navarro-Mussi
C’est la rentrée des classes, la soupe à la grimace, pour Pierre (François Cluzet, histoire-géo), Meriem (Adèle Exarchopoulos, maths), Fouad (William Lebghil, anglais comme une vache espagnole), Sandrine (Louise Bourgoin, S.V.T.), Alix et Sofiane (EPS), tous enseignants dans un collège de banlieue à différents stades de leur carrière professionnelle.
avec Léa Drucker, Samuel Kircher, Olivier Rabourdin
Dans leur somptueuse demeure tout en baies vitrées, Anne et Pierre semblent vivre un bonheur quotidien sans l'ombre d'une contrariété au volant de leur Mercédès décapotable.
Avec Pierre Niney, Blanche Gardin, Frankie Wallach, Francoise Lebrun, Vincent Elbaz
Parce qu'il est lâché par ses financiers, Marc décide de quitter Paris et embarque les rushs de son film inachevé, ce qu'il peut de matériel et son équipe, relativement réduite, chez sa tante dans les Cévennes pour terminer le film et son montage.
Me voici de nouveau sur la terre ferme et reliée au reste du monde (via une connexion partagée parce que Free... passons ! Je crois que je vais passer chez Reef).
Je n'ai vu "que" 6 films lors de la dernière Mostra, je vais donc rapidement les évoquer. Désolée, pas de reportage photos cette fois, même lorsque les séances avaient lieu en présence des équipes de films (sauf pour celui de 1938) mon appareil était en panne (la loi des séries) et j'ai "fait" peu de tapis rouge cette année. Je n'ai donc à vous proposer que les photos que mon pauvre A12 accepte de prendre (avec beaucoup de lumière). J'en ai profité surtout pour une fois encore arpenter sans me lasser tous les vie, calle, salizzade, ruge, rio terra, rive, campi, campielli, campazzi... de la merveille. A la fin de mon séjour, mes pieds pouvaient éclairer un quartier et ma balance s'est réjouie. Et me croirez-vous si je vous dis que ma valise n'était pas à l'arrivée ? Ma vie, mon oeuvre !
Je ne peux vous parler du Lion d'Or (palme vénitienne) attribué cette année à Yorgos Lanthimos pour Poor things (Pauvres créatures chez nous) que je n'ai pas encore vu. Lors de sa sortie en janvier 2024, nous y serons, j'y serai. Nul doute que le jury vénitien de Damien Chazelle a eu plus d'audace et d'originalité que le cannois de Ruben Ostlund.
Petit rappel ou petite information pour ceux qui ne le savent pas, La Mostra de Venise, un des festivals les plus prestigieux du monde, a été créé en 1932 soit 7 ans (ou 14 ans si l'on considère que les festivals cannois ont été annulés jusqu'en 1946 en raison de la guerre) avant le Festival de Cannes. Certains membres du jury de Venise (dont Jean Zay) souhaitaient alors réagir à l'ingérence des nazis et des fascistes dans le choix des films en compétition. Et surtout la France voulait se doter d'un festival aussi prestigieux que son voisin italien. Pour plus de détails, vous pouvez wikipédier ces histoires :-)
Voici donc les films que j'ai vus dans les sublimes salles que sont : la Sala grande, le Palabiennale et la sala Darsena.