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En fanfare suite...

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J'ai revu le film que j'avais vu le 13 octobre dernier en clôture du Festival Effervescence à Mâcon. Dans la salle hier, il s'est passé une chose que je crois n'avoir encore jamais connu (en dehors des festivals)...

les gens ont applaudi (et ça reniflait pas mal). Belle émotion et joie partagée. N'hésitez pas à taper des mains quand le film se termine, les spectateurs vous emboîteront le pas.

Je tenais à (vous) en remettre une petite couche ici pour vous inciter à prendre deux heures dès ce week-end pour voir ce film dont vous me donnerez des nouvelles (je récuse à vie ceux qui n'aimeraient pas). En dehors de cette belle histoire, des rires, des sourires, de l'émotion, de la complicité dingue entre les deux acteurs, l'aîné semblant constamment couvrir du regard son cadet... il y a dans ce film un ingrédient indispensable et absolument renversant : la musique. Qui élève, qui rassemble, qui apaise (mais pas toujours...).

Nous avons donc le bonheur d'entendre ici l'Ouverture d'Egmont de Beethoven, le Concerto 23 de Mozart avec Benjamin Lavernhe au piano et à la direction, la Marche triomphale d’Aïda de Verdi version fanfare, l'incontournable Boléro de Ravel dans une version totalement inédite, mais surtout l'ouverture Des Hébrides de Mendelssohn (que je découvre et écoute en boucle désormais). La création originale de Michel Petrossian Quadrature œuvre symphonique au style dissonant et atonal composée par Thibaut à l'image et donnée à la Seine musicale dans le film tandis que Jimmy compose une Valse pour Thibaut.

Vous hésitez encore ?

Vous êtes perdus pour la science.

 

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