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  • FESTIVAL PARIS CINEMA - 2ème jour

    La technicienne m'a dit

    « - le machin Wifi Sfr Public est un service gratuit... alors des fois l'accès n'est pas aisé.

    - Ben c'est pas qu'il est pas aisé, madame la technique, c'est qu'il est pas possible et basta cosi.

    - Oui bon ben faut ouvrir la fenêtre. Faut changer de place. Essayer, réessayer...

    - Et si je trempe le bousin dans l'eau, ça me donne un escargot tout chaud ? »

    J'adore la haute technologie pas vous ?

    Bref, j'ai dit merci. Et si à l'heure actuelle vous avez le bonheur de pouvoir me lire c'est que j'ai bougé de place.

    J'ajouterai des photos et des vidéos dès que possible.

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    La journée d'hier fut bien remplie et particulièrement enthousiasmante. Ayant programmé mon premier film « Les amants réguliers » de Philippe Garrel à 14 heures à la Filmothèque dans le 5ème, j'ai prudemment décidé de quitter le XIème où je loge présentement vers midi. Sauf que le 3 juillet 2010 sur la Place Léon Blum, métro Voltaire se tient le... Carnaval Tropical, oui messieurs dames, vous n'en aviez jamais entendu parler, moi non plus. Donc, c'est pas rien de dire que le quartier était bloqué dans un statu quo d'immobilité néanmoins festive et colorée. Je vous passe les détails du trajet avec changement épique à Châtelet. Tout ça pour arriver pile à 14 heures 02 à la Filmothèque où le film allait commencer, je me suis donc repliée sur le plan B, la salle bleue en lieu et place de la rose (très jolies l'une comme l'autre) et ai re-vu un film de 1970 qui ne m'a pas rajeunie ma brave dame mais qui m'a comblée...

    à suivre ci-dessous ma folle journée :

  • LES MOISSONS DU CIEL**** de Terrence Malick

    Les Moissons du ciel

    Ce grand film d'amour sur fond de climat social et de misère est une pure merveille où toute la singularité de Malick explose déjà à chaque scène. On pourrait faire un arrêt sur image de chaque plan tant chacune s'impose comme une photo, un tableau. Le meilleur exemple est cette ferme perdue au milieu de nulle part copiée/collée sur cette d'Edward Hopper.

    L'histoire est celle de Bill, Abbie et Linda qui parcourent les Etats-Unis pour survivre en travaillant. L'abondance de main-d'oeuvre aux abois rend les patrons particulièrement odieux qui n'hésitent pas à considérer et traiter les ouvriers comme de la marchandise interchangeable. Mais cela ne rebute pas les courageux qui n'ont d'ailleurs aucun autre choix, l'essentiel pour eux étant de rester ensemble. Ils s'arrêtent pour une saison de moissons chez un jeune fermier solitaire et mourant. Ce dernier tombe amoureux d'Abbie dès qu'il la voit et sous la pression de Bill qui pense qu'en cédant à ses avances cela leur permettra de changer de vie, elle accepte de l'épouser. Evidemment Le Fermier finit par découvrir que Bill est un peu plus que le frère d'Abbie...

    C'est définitivement Terrence Malick qui a inventé le vent dans les feuilles, les branches et surtout celui qui caresse les épis de blé. Toutes les images sont sublimes chez ce réalisateur, elles vous emportent loin. Mais pas seulement. L'évolution des personnages, l'économie de discours et de dialogues, la voix off moins présente que dans ses films les plus récents mais déjà la marque de l'univers de Malick, tout concourt à faire de ces dramatiques moissons une magnifique aventure de sensations.

  • MASTER CLASS JANE FONDA - FESTIVAL PARIS CINEMA

    J'ai retrouvé Mademoiselle In the Mood, fait la connaissance de Dimitri qui nous a remis notre invitation pour assister à la Master Class de Jane Fonda avec une centaine d'autres privilégiés ! En fait, il ne s'agissait ni d'une Master Class ni même d'une conférence mais bien d'une rencontre comme une conversation avec cette immense personnalité, ce qui est renforcé par l'intimité de cette petite salle. La star refuse d'emblée d'être cataloguée ou enfermée dans une case comme celles de jeune actrice, puis de sex-symbol, puis de féministe, puis d'activiste... mais qui espère encore être tout cela en même temps, malgré le temps justement.

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    C'est Fabrice Leclerc (rédacteur en chef de Studio Ciné Live) qui est chargé d'animer cet entretien et il ne pourra cacher son bonheur d'avoir à interviewer un tel personnage descendu du piédestal où l'a placé le cinéma alors qu'elle se montre si proche de nous. Il est vrai que Jane Fonda va nous offrir un véritable one woman show inattendu. Fine, élégante, juvénile, pleine de fougue, elle est d'une drôlerie irrésistible et ramènera sans cesse l'interview du côté de l'humour dès qu'il redeviendra trop sérieux. Elle encouragera les questions, les échanges, remettant de façon absolument délicieuse et très drôle le « poseur de questions professionnel » qui veut profiter de son temps de micro disponible pour raconter sa vie et refaire la bio de Jane montrant par là qu'il a bien révisé son sujet. MDR. Au bout d'un moment de ce monologue lénifiant (Jane Fonda doit savoir... je pense... qu'elle a un père qui s'appelle Henry, un frère Peter, une nièce Bridget...), elle dira : « où se trouve votre question ? ». J'adore !

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     Jane Fonda explique qu'elle est en France pour tourner un film avec notamment Pierre Richard, dont elle dit être tombée « amoureuse » pour ce rôle puisqu'elle jouera celui de sa femme. Comme elle parle impeccablement français mais le lit avec plus de difficulté, c'est la fille de Vadim, Nathalie qui lui a proposé le scénario auquel elle a dit oui sans même le lire.

    Elle évoque son père avec qui, toute jeune, elle a partagé une scène de théâtre alors qu'elle ne savait que faire pour gagner sa vie. C'est avec infiniment d'émotion qu'elle dit que ce père lui manque mais élude avec une pirouette en rappelant qu'elle a obtenu deux Oscar avant que lui-même n'en obtienne un... pour son tout dernier film « La maison du lac » qu'elle a produit. C'est pour « Klute » de Pakula qu'elle obtient le sien alors qu'elle suppliait le réalisateur de prendre Faye Dunaway, ne se sentant pas suffisamment crédible dans le rôle de cette prostituée.

    A 22 ans, elle cherche avant tout à échapper à l'ombre envahissante du père car elle en a assez de n'être que « la fille de ». Elle tourne avec les plus grands dont Cukor par exemple dont elle dit avec malice qu'il couchait avec les garçons mais adorait les filles.

    Un premier tournant s'opère en 1972. Elle devient militante activiste contre la guerre du Vietnam. Pendant trois ans, elle partage la vie des femmes et des familles de combattants puis de vétérans. Elle est révoltée. Elle est toujours consternée de constater qu'aujourd'hui les vétérans des guerres d'Irak ne soient pas mieux traiter...

    Dès lors ses rôles seront toujours en accord avec ses combats et ses préoccupations idéologiques ce qui lui vaudra d'ailleurs pas mal de critiques et de problèmes avec l'extrême droite et le F.B.I. Ce qui a été dit d'elle à l'époque la poursuit toujours et elle en semble toujours profondément affectée car il aurait été clairement dit qu'elle n'aimait pas son pays et « ses » soldats.

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    Elle produira « Le Retour » d'Hal Ashby en l'honneur des vétérans et obtiendra son deuxième Oscar de la meilleure actrice pour le rôle qu'elle tient dans ce film. Dans les années 80, elle voulait « devenir activiste à plein temps », mais aujourd'hui en 2010, elle veut retravailler et fait noter par une de ses amies présentes, avec beaucoup de plaisir et d'amusement le nom des jeunes cinéastes que le public lui suggère : Jacques Audiard, Christophe Honoré, mais aussi Tarantino. Elle rêve de nouveau de tourner avec Robert Redford ou Jeff Bridges. Elle s'adresse au public en disant « si vous avez des contacts avec ces gens, dites leur que Jane Fonda est prête ».

    Même si elle tourne peu désormais, elle trouve sa vie passionnante et bien remplie entre ses voyages, son compagnon, son chien et les livres qu'elle écrit.

    En quittant la salle, une foule de fans s'était massée devant le cinéma. Nous avons dû nous échapper pour rejoindre le MK2 (où nous attendait Tilda Swinton) mais nul doute que Jane Fonda a dû accorder du temps à ces gens présents venus pour elle.

    Je la retrouverai ce soir lors d'un cocktail donné en son honneur...

    Que voulez-vous que je vous dise ? C'est magique ! Regardez.

     

  • LES AMOURS IMAGINAIRES de Xavier Dolan ***

    Avec les mêmes + Rob Gordon en pleine restructuration, nous nous sommes rendus dans la salle où était projeté en avant-première également :

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    Les Amours ImaginairesLes Amours Imaginaires

    Le film était présenté par l'actrice Suzanne Clément qui jouait le rôle de la professeur de français dans l'excellent premier film de Xavier Dolan, découvert l'an dernier « J'ai tué ma mère ».

    C'est avec un grand bonheur que je peux affirmer que ce jeune incroyable surdoué prodige québécois (il a 20 ans) confirme tout le bien que tout le monde pense de lui. Il faut dire qu'il avait placé la barre lui-même très haut avec son premier long métrage. Il persiste et signe avec ces amours là plutôt déjantées, absolument hilarantes et pourtant non dénuées d'anxiété.

    Francis et Marie sont amis. Au cours d'une soirée, ils font la connaissance de Nicolas dont ils tombent tous les deux amoureux. Lors de la compétition pour s'attirer les faveurs du bellâtre, tous les coups (bas) sont permis. Qui n'a pas connu ce désespoir amoureux où l'objet de toutes vos pensées s'obstine avec plus ou moins d'innocence à vous envoyer des signaux pas toujours bien identifiés, ces longues minutes/heures d'attente avec le téléphone sur les genoux à attendre en vain qu'il sonne, et puis les erreurs, les quiproquos, les petites hontes, les grosses gaffes, l'obstination à voir un être hors du commun dans un personnage finalement plutôt fade et ordinaire... ne sera peut-être pas sensible aux affres que traversent Francis et Marie ? Mais le film n'est pas que cela et si le fond est indéniablement tourné vers la quête obsessionnelle de l'amour, la forme, sophistiquée, singulière, lumineuse avec des plans travaillés, des ralentis toujours wongkarwaïens, la musique omniprésente et essentielle ajoutent au plaisir constant. Xavier Dolan, à peine 20 ans, est acteur, réalisateur, producteur, monteur de son film. Il s'est également chargé de la conception des costumes. Incontestablement imprégné de la nouvelle vague, du cinéma de Christophe Honoré (et le clin d'œil final de Louis Garrel qui tournera dans le 3ème film du réalisateur et dont l'acteur Niels Schneider qui joue Nicolas ici en est la version blonde est là pour le confirmer), les films de Xavier Dolan sont infiniment personnels, originaux, singuliers et différents.

    Les dialogues imagés mériteraient d'être cultes.

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    Je ne vous raconte le plan « lose totale » de Miss M. et moi-même pour regagner nos pénates mais nous ne sommes pas rentrées avant 2 heures du matin. Paris est une fête, c'est indéniable.

  • MA SEMAINE AU CINEMA

    Cliquez sur le titre du film pour lire l'article.

    FESTIVAL PARIS CINEMA où je suis membre du Jury des Blogueurs (du 3 au 13 juillet)

    YOU WILL MEET A TALL DARK STRANGER de Woody Allen - FESTIVAL PARIS CINEMA ****

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    A CINQ HEURES DE PARIS de Léon Prudovsky ***

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    THEATRE
    LECON D'ANATOMIE de Larry Tremblay, mise en scène Benoît Gautier
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    MES COUPS DE/AU COEUR
     
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    LE COIN DU COPINAGE
    copié sur le best of big de Jérôme c'est lui.
    Le blog ressuscité, à la recherche d'un titre de folie.
    Et puis le blog de la blogueuse qui mood au Festival Paris Cinéma.
  • FESTIVAL PARIS CINEMA - 2 - (mon) Programme du jour

    (sauf changement de dernière minute)

    14 h : Les amants réguliers de Philippe Garrel - à la filmothèque Quartier Latin (Paris 5ème)

    17 h 30 : MasterClass de Jane Fonda - à la filmothèque du Quartier Latin (Paris 5ème) - Modérée par Fabrice Leclerc, rédacteur en chef de Studio Ciné Live. (Je crois savoir que c'est complet).

    19 h 30 : Amore de Luca Guadagnino au MK2 Bibliothèque (13ème) - Présentée par le réalisateur et la comédienne Tilda Swinton.

  • FESTIVAL PARIS CINEMA - 1 - WOODY...

    Voilà j'y suis, pour 13 jours... après six éprouvantes heures de route et quelques déboires et difficultés à obtenir une connection qui me permettra de rester en contact avec vous, je pense que je vais pouvoir autant que possible vous relater au jour le jour ce qui se passe dans la capitale pour l'instant accablée de chaleur. Mais qu'importe si le brushing ne tient pas et si le smooky eyes coule, nous sommes quelques uns à être moites de bonheur mais soyez rassurés : on s'hydrate !

    La soirée d'ouverture du Festival Paris Cinéma a donc eu lieu comme prévu au Cinéma Gaumont Capucines près de l'Opéra et en tant que membre du jury des blogueurs (innovation cette année pour cette 8ème édition ; Aude, Anne, Alexandra, "piliers" du Festival, merci et encore merci !), j'étais vraiment très très bien placée... Près de moi Marisa Berenson, Rosanna Arquette (vraiment très jolies toutes les deux), agréables et souriantes  (mon homme est d'ailleurs tombé amoureux de Rosanna qui lui a touché la main et fait le plus beau sourire du monde...), Tom Novembre, Lisa Sednaoui, Eric Reinhardt, Valérie Donzelli...

    J'ai retrouvé Sandra M. qui comme moi fait partie de ce jury, et comme moi est ravie (elle fait tout comme moi en fait) comme si c'était Noël, et fait la connaissance d'Anne-Soizic. Je regrette que les autres membres du jury présents ne se soient pas joints à nous, mais nous aurons très prochainement l'occasion de faire connaissance.

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    Le film projeté en avant première ce soir, qui sortira en salle le 6 octobre prochain est

     "You will meet a tall dark stranger" **** de Woody Allen.

     C'est déjà formidable de pouvoir voir le film d'un de mes réalisateurs préférés si longtemps avant sa sortie dans de si prestigieuses conditions... mais le cadeau inestimable de cette soirée est que Woody en personne était là, cool, souriant, tranquille, drôle... accueilli par Charlotte Rampling, présidente du Festival et Bertrand Delanoë, maire de Paris.

    Un bonheur.

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    LE FILM

    C'est à Londres que se situent les aventures à la fois quotidiennes, ordinaires et extraordinaires de 8 personnages dont les destinées vont se croiser,  converger ou s'éloigner.

    Des histoires de couples, d'amour, de sexe, de désir, d'ambition, de déceptions... des erreurs, des quiproquos, des malentendus, des infidélités, des injustices. Beaucoup d'incertitudes, de tergiversations, de lâcheté, de cruauté. Le tout enrobé, pimenté, entortillé, noyé dans un flot de paroles fiévreuses mais toujours d'une justesse et d'une utilité incontestables. Oui, les personnages de Woody parlent beaucoup. Ils s'expliquent, se justifient. C'est rythmé, nerveux, vigoureux, pétillant avec toujours, au bord de l'éclat de rire, cette inquiétude  propre au petit bonhomme assez génial qu'est ce grand réalisateur. Dans cette frénésie de dialogues, de rebondissements en tout genre dont un ABSOLUMENT GENIAL, véritable pirouette inattendue qui concerne Josh Brolin l'écrivain et un de ses amis victime d'un accident... et cet autre où un mari (Josh Brolin encore) emménage chez une splendeur (la sublime Freida Pinto) qu'il a longuement observée depuis la fenêtre de son appartement et qui se retrouve à observer la femme qu'il a quittée (Naomi Watts) depuis son nouvel appartement. En un plan vraiment astucieux et magistral, sans effet ni parole cette fois, il nous démontre la bêtise des hommes (en tant qu'humanité) qui s'obstinent toujours à imaginer que la vraie vie est ailleurs...

    Ce film lumineux, plein de drames, de folie, de douceur et d'humour est un grand grand cru qui m'a rappelé l'époque bénie des "Annie Hall" et "Manhattan", pas moins. C'est totalement euphorisant de voir qu'un réalisateur de cette trempe et de cet âge puisse encore innover tout en imprimant son incontestable et tellement reconnaissable virtuosité. Et beaucoup d'allégresse aussi, de délicatesse pour démasquer les failles et fêlures humaines et nous démontrer la vanité, la fragilité des illusions, des apparences.

    Quant à la direction d'acteurs, elle est à l'image du reste, virtuose et irréprochable. Woody tire le meilleur de cette toute nouvelle troupe d'acteurs qui se montrent tous à la hauteur de l'honneur et du bonheur de travailler avec lui. L'inconnue Lucy Punch, véritable fantasme ambulant, tout en jambes, en cheveux, en minceur qui a comme son nom l'indique beaucoup de vigueur et de vitalité est LA révélation irrésistible de cette histoire pleine de bruit et de fureur, "much ado about nothing", "très dramatique et très comique ", où il est également question de réincarnation et de vies antérieures... Mais grâce soit encore rendue à Woody de permettre à Anthony Hopkins de redevenir le merveilleux acteur qu'il a su être, sans excès ni cabotinage.

    La musique qui accompagne, dès le générique, est comme toujours un régal permanent...

    Bravo, bravo et encore bravo et une standing ovation !

  • ÇA COMMENCE AUJOURD’HUI : Festival Paris Cinéma

    Et j'y serai car comme je vous l'ai déjà annoncé, je ferai partie du Jury des Blogueurs qui devra permettre au distributeur d'un des huit films en compétition d'obtenir une insertion publicitaire dans Studio Ciné Live lors de la sortie en salles.

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    Demain, lors de la soirée d’ouverture privée, nous pourrons voir en avant-première le dernier film de Woody Allen

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    A partir du samedi 3 et jusqu' au 13 juillet 2010, le Festival Paris Cinéma donne rendez-vous aux spectateurs pour un début d'été cinématographique, populaire et festif. Au tarif exceptionnel de 5€ la séance, le Festival Paris Cinéma investit à nouveau la ville.

    Ne pleurez pas, j'emmène mon ptit machin et je vous tiendrai informés du mieux que je pourrai (j'ai un emploi du temps de ministre) de tous les films que je vois et événements auxquels je participe comme cette première soirée qui réserve déjà des surprises...