JE SAIS QUE CE QUE VOUS PREFEREZ...
ce sont mes reportages photos avec commentaires en direct live open mind ! Alors voici donc ce que vous attendez tous. Et en plus, vous allez pouvoir vous fendre de quelques messages puisqu'aujourd'hui c'est l'anniversaire du Warrior. Souvenez-vous, l'année dernière, je lui avais offert ceci :
pendant que je me consolais avec cela :
mais comme le staff bilili du festiv' pensait qu'on ne viendrait pas cette année y'a que de l'erzatz. Et même si comme prétend un certain
"y'a pas que les beaux garçons dans la vie", je pense que sans eux, elle n'aurait quand même pas la même saveur... Il paraît même qu'ils n'ont pas invité Manolo, et ça je ne suis pas prête de leur pardonner :
Chaque journée commence donc par un délicieux et copieux petit déj, qui nous permet en plus de nous régaler de la déco de L'Hôtel du Midi. Ne vous y méprenez pas, les fleurs sont bel et bien en plastique véritable :
La tête du warrior à droite c'est quand il prétend qu'il en a ras le bol (choï... MDR) que je le prenne en photo :
Là c'est après qu'on ait tout rincé et que je me récure les dents creuses du fond qui baignent :
Un couloir et l'ascenseur de l'hôtel. Il ne peut plus charger qu'une personne à la fois et chaque fois, on se dit adieu car on craint que le dernier voyage soit arrivé...
Les travaux :
Une petite ballade "en ville" afin de découvrir les richesses du patrimoine (la proprio du lieu est sortie comme une furie en me voyant prendre la photo avec un air de dire "NON A L'ESPIONNAGE INDUSTRIEL !"... et n'a même pas vu l'homme au chapeau qui s'éloignait mine de rien avec tous les documents sous le bras...) :
Et puis, miracle annonaisien, il arrive parfois qu'on "tombe" sur deux réalisateurs et comme leur magnifique film est un de mes (deux) préférés (mais lorsque nous nous sommes rencontrés, c'est le leur que je préférais...) c'est plus simple pour devenir amis à la vie à la mort. Bon évidemment le warrior a tout de suite compris mon manège et trouve que je me suis davantage rapprochée du réalisateur à ma gauche... J'ai eu beau lui dire que c'était pur hasard... :
Il ne m'a pas crue et en a profité pour se venger (je trouve ça vraiment mesquin et de toute façon c'est évident elle est beaucoup trop grande pour lui !) :
Ensuite c'est déjà l'heure d'aller se sustenter et d'attendre Madame Zi Artitik's wife qui son of the bitch nous a posé un lapin maousse. Heureusement, on sait s'occuper. Je me réjouis toujours de ma "créditation" pendant que le Warrior regarde un livre d'images :
En attendant Madame Zi , nous en profitons pour nous instruire car l'Eloge met à la disposition des attendeurs, des livres savants datant de 1946 :
ou... pas :
Comme la miss tarde à venir, je me remets du gloss, ça occupe :
pendant que d'autres se reposent. C'est fatigant un festival vous avez pas l'air de vous rendre compte :
On regarde encore la déco :
Et finalement, il fait trop faim :
Puis, l'heure arrive enfin d'aller au cinéma... J'ai trois films en retard à vous raconter... je vais tâcher de m'y mettre mais je ferai court de toute façon, vous ne lisez pas :
Dans la salle vous pouvez trouver Azouz et une partie du jury... Il faut d'ailleurs que j'arrive à les pécho pour vous montrer leurs binettes pour les flasher mais ce n'est pas simple. Crotte de bique j'avais même pas vu qu'il y avait un spectateur qui ressemblait à Gaspard Ulliel (mais en brun) :
Zi Artistik se la pète finger in ze nose main dans la poche, parce qu'il s'est acheté une cravate :
Ils pourraient mettre un peu de chauffage pour les Warriors frileux avec leucémie... :
Sinon après, pour se réchauffer, il fait porte nawak :