LA SOLITUDE DES NOMBRES PREMIERS
de Saverio Costanzo ****
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de Saverio Costanzo ****
C'est un peu couillon de vous parler d'un festival tout nouveau-né cette année et auquel je souhaite longue vie, qui se termine demain et qui de toute façon doit afficher complet... mais j'y étais hier soir et j'ai passé une telle soirée de folie que sans aucun doute tout le reste de la programmation devait être au niveau.
Et puis je sais ce qu'il faut d'énergie, de volonté et de passion pour mettre au monde et faire vivre un tel événement quand on connaît la frilosité en général qui entoure la nouveauté et l'imagination en matière de culture. D'autant que Mathieu et Arnaud (auteurs, metteurs en scène et interprètes de leurs spectacles), les initiateurs de ce Festival qui s'étale sur 6 soirées, ont choisi pour thème "L'humour dans la crise". Ils n'en oublient pas pour autant l'aspect social de leur travail en réalisant un partenariat avec l'association "Culturel du coeur" en lutte contre les exclusions.
Vous pouvez trouver tous les renseignements concernant ce Festival qui se déroule dans un endroit fabuleux (que je ne connaissais pas) : Le Théâtre Mon Désert, en cliquant sur l'affiche. C'est un endroit intime et accueillant où les troupes d'amateurs et de professionnels peuvent s'exprimer.
Hier soir j'ai donc assisté avec mon ptit garçon au spectacle de Lobo et Mie deux garçons sympathiques et talentueux
qui ne font pas toujours dans la dentelle en évoquant Cendrillon et "son chewing-gum pour minou" par exemple, mais on ne peut nier que c'est simplement hilarant. Un peu anarco-libertaires, "cassant" de l'UMP avec délectation, sketches et chansons s'enchaînent entre deux éclats de rire. Vivifiant !
Ensuite est arrivée une tornade qui se présente sous les traits d'un garçon un peu chétif qui semble timide et mal dans sa chemise au départ et qui finalement part en vrille dans un délire parfois surréaliste. Vous accros aux séries devez le connaître, il s'agit d'Alexandre Pesle, le Damien de Caméra Café
Entre misère sexuelle, jeux de mots foireux, castings pathétiques, figurations de loser, Régine Castignac, le Bengladesh et sa maman (les mamans de garçons humoristes doivent se réjouir, elles sont une source inépuisable d'inspiration comique !!!) Alexandre Pesle nous abreuve de ses "Conseils à des jeunes qui veulent rentrer dans le show-bizness" et fait passer le rire de gloussements à hurlements.
Salutaire et à consommer sans modération.
Pour trouver le programme et les cinémas en France et en Europe qui programment cette nuit... cliquez sur l'affiche :
Voici les films présentés (dans l'ordre de MES préférences)
LOGORAMA**** de H5 - France - César du Meilleur Court Métrage
Une course poursuite effrénée, des animaux sauvages lâchés dans la ville, une prise d'otage qui tourne au drame et bien plus encore dans Logorama !
Ce court est une pure "tuerie" comme dirait les djeuns ! Dans un Los Angelès exclusivement constitué de logos de 3 000 entreprises, marques ou produits mondialement connus, deux flics (bibendums michelin) sillonnent la ville. Un trafiquant d'armes bien barré est repéré et pris en chasse par les deux collègues. Il s'agit de Ronald McDonald, le fameux clown, terrifiante mascotte du "restaurant" vampire. Un enfant est pris en ôtage puis un tremblement de terre anéanti la ville. Une charmante jeune fille (la pin Up Esso) tente de protéger le gamin. ça va à 100 à l'heure, ça ne faiblit jamais, c'est inventif, original, audacieux, formidable. Le final, époustouflant est sublime et vous ne devriez plus jamais emmener vos rejetons chez ce psychopathe de Ronny ! Normalement...
SAMARATINEN de Magnus Mork*** - Norvège - Amanda du Meilleur Court Métrage
Knut est un célibataire norvégien d'une quarantaine d'années. Un jour, il rencontre accidentellement Mirza, un immigrant clandestin. Il décide de l'inviter chez lui.
Belle amitié amoureuse entre deux hommes qui finalement démontre que la mine et l'habit ne font pas le moine et qu'on ne se méfie jamais assez du salop qui sommeille...
YURI LENNON’S LANDING ON ALPHA 46*** de Anthony Vouardoux - Suisse - Quartz du Meilleur Court Métrage
Après son arrivée sur Alpha 46, une lune de Jupiter, le cosmonaute Yuri Lennon est confronté à un extraordinaire paradoxe...
En effet, ce cosmonaute un peu mariole et maladroit va vivre une aventure peu commune. Jubilatoire et terrifiant.
GOD OF LOVE de Luke Matheny*** - Etats-Unis - Oscar du Meilleur Court Métrage de Fiction
Raymond, un chanteur de jzaz champion de fléchettes, pense que Dieu a répondu à ses prières lorsqu'il reçoit un mystérieux colis contenant une poignée de fléchettes et un étonnant mode d'emploi...
On ne peut pas se faire aimer forcément par l'élu(e) de notre coeur, tout comme il n'est pas évident d'aimer la personne qui nous aime. Raymond (Luke Matheny acteur/réalisateur délirant au physique absolument hors norme...) va tenter de forcer le destin grâce à ses flèches magiques et découvrir que faire le bonheur des autres avant le sien propre est source de grande satisfaction...
THE LOST THING de Andrew Ruhemann et Shaun Tan** - Australie et Etats-Unis - AFI Award du Meilleur Court Métrage d'Animation - Oscar du Meilleur Court Métrage d'Animation
Un garçon découvre une étrange créature sur une plage et décide de lui trouver une maison, dans un monde où tous pensent avoir des choses plus importantes à faire.
Ou à quel moment finit l'enfance ? Quand décide t'on que les choses qu'on a à faire sont tellement importantes qu'on n'en oublie le monde qui nous entoure ?
PASSING TIME de Laura Bispuri** - Italie - David di Donatello du Meilleur Court Métrage
Dans une ancienne ferme, le silence accable l'âme de Chiara. Elle cherche à faire le deuil de son grand-père adoré.
Film muet sur l'impossibilité de communiquer, le manque de considération du chagrin d'une jeune fille... et un plan final bien envoyé.
TUSSILAGO DE Jonas Odel* - Suède - Gulbagge du Meilleur Court Métrage
Le 31 mars 1977, le terroriste allemand Norbert Kröcher, avec sa petite amie "A", est arrêté à Stockholm pour avoir planfiié l'enlèvement d'une femme politique suédoise. Voici l'histoire de "A" entre amour et terrorisme.
Amour, terrorisme et psychiatrie... ce court qui mélange animation, découpage et vrais personnages est plombé par une voix off assez désagréable à l'oreille et les sous-titres blancs sur fond blanc font perdre beaucoup de sa saveur à un film qui veut tout dire en un quart d'heure...
Comme l'année dernière je vous invite à participer à un concours afin de gagner deux invitations pour le ciné-concert exceptionnel :
Le Seigneur des Anneaux - Les deux tours.
Vous avez jusqu'au 20 mai pour vous rendre sur le site de SYLVOË et valider votre participation en répondant aux questions.
Cet événement se tiendra du 23 au 28 juin 2011 à l'Auditorium de Lyon (Orchestre National de Lyon - 149 rue Garibaldi 69003 Lyon)
Le tirage au sort aura lieu entre le 23 mai et le 24 mai 2011.
Annonce des gagnants entre le 24 mai et le 27 mai 2011.
Je vous rappelle que j'avais eu le bonheur de pouvoir assister au premier ciné-concert de la trilogie et que c'était tout simplement fabuleux.
Profitez-en également pour visiter ce beau site consacré aux bijoux elfiques
Alors que l'Argentine de 1982 est encore une dictature militaire qui commence à battre de l'aile, une jeune surveillante du Lycée National de Buenos Aires Marita propose à son supérieur de lui confier la mission d'espionner les élèves. Persuadé que l'ordre et la discipline ne peuvent s'obtenir que grâce à une surveillance de tous les instants, le Surveillant Chef est heureux de trouver en Marita une employée aussi zélée. Obnubilée dès lors par l'impatience de trouver des coupables, Marita séjourne régulièrement dans les toilettes des garçons pour les surprendre... à fumer par exemple, ce qui serait le début du commencement de la fin pour les jeunes gens de ce lycée censé abriter les futures élites de la Nation !
Peut-être que ceux qui ont bac + 12 en histoire de l'Argentine saisiront toutes les subtilités d'un film qui ne montre rien (que des images d'archives aux deux génériques !) de ce qui se passe à l'extérieur du lycée et se contente d'un huis clos forcément étouffant dans l'enceinte de l'établissement à l'architecture et aux couleurs particulières, très "gadouilles" comme disait Marie. Quelques échappées tout aussi claustrophobiques vers le domicile de Marita démontrent que son quotidien privé est aussi sinistre que le professionnel car la jeune femme vit avec sa grand-mère dont elle partage la chambre, et sa mère dont on ne comprendra jamais si elle est "vraiment" malade ou débile mentale ! On ne comprendra d'ailleurs pas grand chose aux intentions balourdes et prétentieuses du réalisateur. Trop de complexité et d'abstraction tuent la compréhension de la pauvre spectatrice qui aime qu'on lui raconte des histoires... pas forcément jolies mais accessibles bordel.
Cette pauvre Marita, frustrée sexuelle, passe énormément de temps vautrée dans le pipi et le caca des lycéens qu'elle épie (pi). Cela signifie-t'il qu'une dictature ça pue la merde ? Elle se masturbe en regardant un garçon faire pipi ! Elle renifle le cou d'un d'entre eux alors qu'elle surveille une "interro". Elle renifle un slip pendant que son propriétaire s'ébroue dans une piscine...
Cela finit de la façon la plus abjecte qui soit...
Pouvez-vous m'expliquer pourquoi j'ai mis une étoile ?
Sans doute parce que je plains la belle actrice ! Quoique non en fait, un scénario ça se lit après tout !!!
Alors donc, je suis loin de mon éblouissement d'hier.
Je vous invite donc à faire l'impasse sur ce film, mais je NE VOUS PARLERAI PLUS JAMAIS si vous ne vous rendez pas fissa voir celui-ci ! Et ne me faites pas chier avec le temps qu'il fait, le soleil ne va pas s'éteindre !
C'était quand la dernière fois que vous êtes sortis d'une salle de cinéma avec des ailes, léger comme une paillette cannoise ? Moi c'était hier, malgré tout. Il faut dire que Woody a mis le paquet pour nous emporter loin comme il sait parfois le faire, à condition bien sûr de se laisser embarquer sans condition ni résistance. Et si comme moi, vous ne savez strictement rien des méandres où plonge ce film avant d'entrer en salle, j'imagine que le plaisir déjà considérable peut être décuplé.
Les cinq premières minutes du film s'étalent comme un dépliant touristique où l'on pourrait s'inquiéter à penser que Woody est tombé dans le piège d'un Paris de carte postale idyllique et irréaliste. Sur un thème de Sidney Bechet d'une mélancolie à tomber, nous visitons donc Paris en long en large et en travers où ne traîne aucun papier gras et en évitant soigneusement Barbès et le XIIIème (entre autre). Et finalement les barrières, l'appréhension et la méfiance s'effondrent car Paris, c'est aussi ça, cette ville magique et intemporelle avec ses pavés, ses toitures grises, ses escaliers, ses jardins, ses ponts, ses monuments célèbres, ses grandes avenues, ses petits marchés, ses squares, ses musées. Et l'on comprend à quelle déclaration d'amour inconditionnel le réalisateur va se livrer en faisant de la capitale un personnage où son imagination, sa folie et son inspiration vont pouvoir se manifester en mode majeur. Il va nous précipiter dans un rêve insensé et délicieux où l'imaginaire et les phantasmes les plus fous peuvent enfin se réaliser. Un songe, une rêverie, un idéal de cinéma que seul le 7ème art et un réalisateur de génie (j'emploie ce mot dans tout son sens) peuvent permettre et procurer.
Woody Allen, au sommet, qui doute encore pourtant d'avoir jamais réalisé un GRAND film nous comble avec cette sucrerie dorée, subtile et profonde, drôle et mélancolique, cruelle et généreuse dont on sort le coeur allégé de toute peine et plein d'espoir. Woody laisse encore percevoir que le cinéma est un puits sans fond où l'inspiration et la fantaisie sont reines et dans lequel tout est possible, sans limite !
Mais revenons-en un peu à notre histoire ! Dès les premières scènes qui mettent en présence Inez et Gil jeune couple d'américains en vacances à Paris avec les parents de la belle et qui doivent officialiser prochainement... on sent bien que rien ne colle entre eux. Alors qu'Inez, fille à papa et maman, bourgeoise, oisive et matérialiste s'imagine déjà dans sa villa à Malibu avec son scénariste à succès de mari, Gil quant à lui bohême, intellectuel et sentimental ne rêve que de simplicité et d'une vie sous les toits avec vue sur le ciel et pourquoi pas à Paris. Elle a hâte de s'installer à nouveau sur une plage californienne, il trouve que Paris est encore plus beau sous la pluie où il aime se perdre dans les rues. Elle affirme qu'il est plus crédible en scénariste, activité lucrative, il aimerait que le roman qu'il a écrit soit publié... Gil a de toute façon peu voix au chapitre et aucun de ses souhaits n'est pris en compte par sa fiancée comme par ses parents qui le méprisent ouvertement et auraient préféré un autre parti pour leur fille. Justement, la rencontre avec des amis américains va faire que providentiellement Gil et Inez vont découvrir Paris chacun à leur façon et de leur côté. Pour notre plus grand bonheur.
Et Paris de devenir sous nos yeux émerveillés, le lieu de tous les possibles où la nostalgie, les rêves, les illusions, le passé, le présent et l'avenir s'entremêlent pour aboutir au constat vivifiant, réconfortant et exaltant qu'on peut s'enrichir du passé pour marcher vers un avenir peut-être prodigieux.
Toute la magie d'une ville et d'une histoire devant la caméra d'un réalisateur particulièrement inspiré qui, en évoquant le subterfuge de "La rose pourpre du Caire" (autre chef-d'oeuvre de Woody) dont tout cinéphile a rêvé, nous égare et nous transporte (dans tous les sens du terme) pendant 90 minutes dans un songe enchanteur.
C'est éblouissant, brillant, raffiné, c'est drôle, bavard et ironique, tout à la fois et plus que cela encore. Owen Wilson, nouveau venu chez Woody Allen, s'empare magistralement de l'univers, du phrasé, de la démarche même (mains dans les poches) de Woody qui ne peut (hélas) plus interpréter les personnages de ses rôles et possède ce qu'il faut de séduction, d'humour et d'élégance pour être absolument convaincant.
Je vous laisse le bonheur de découvrir le reste du casting sans rien vous révéler de l'histoire et aller ainsi de surprise en émerveillement.
Et que celle qui prétend à tort que je raconte TOUJOURS la fin des films sache que je n'en dis strictement rien ici.
spécial FESTIVAL DE CANNES, 64ème édition (ça ne vous a pas échappé je suppose). Une édition qui, j'en suis sûre, sera de haute volée puisque pour assurer la qualité, mon Thierry Frémaux a rassemblé les valeurs sûres : Pedro Almodovar, Jean-Pierre et Luc Dardenne, Nuri Bilge Ceylan, Aki Kaurismäki, Nanni Moretti, Lars Von Trier, Nicolas Winding Refn et... TERRENCE MALICK... pour ne citer que ceux qui me font baver rêver.
Dès la première page et le toujours frémissant édito de Patrice Leclerc, on apprend qu'être star peut encore rimer avec simplicité, naturel, franchise et modestie. Et qu'il est encore possible de s'installer autour d'une table avec un acteur qui prend le temps, se laisse photographier sans poser de condition. Cet acteur/star, plus beau et plus sexy que jamais du haut de ses 48 ans, c'est Brad Pitt qui revient une fois encore à Cannes au casting du film d'un des plus mystérieux et merveilleux réalisateur que la planète ait porté,Terrence Malick, dans le rôle du père de Sean Penn... Et rien que la bande-annonce de ce film "The tree of life" est une promesse !
Vous pourrez aussi retrouver au sommaire tout le programme du Festival, de la sélection officielle aux sélections parallèles, ainsi que les films du mois, les tournages des derniers Spielberg et Jean-Jacques Annaud et les rubriques habituelles (les films à l'affiche commentés par les critiques de la rédaction).
Pour gagner un exemplaire, retrouvez le titre d'un film qui se cache...
UNE SEULE REPONSE A LA FOIS PAR PERSONNE. ATTENDRE QUE J'AI VALIDE POUR RETENTER SA CHANCE !
LES GAGNANTS sont sopel et Damss.
LE point commun est : les films qui sortent en DVD ce mois-ci.
GAME OVER. MERCI.
1
SOMEWHERE trouvé par Mister Loup
2
AU-DELA trouvé par sopel
3
LES CHEMINS DE LA LIBERTE trouvé par marion
4
THE GREEN HORNET trouvé par Yohan
5
POUPOUPIDOU trouvé par Damss
Pendant que Clément se fait plaquer sans passion par sa petite amie, son petit frère Nicolas est en boîte de nuit et tombe sous le charme de Prudence qui se débarrasse sans façon de son ami Max, garçon très amoureux quelque peu soupe au lait. C'est l'été, Clément et Nicolas partent en vacances à St Jean de Luz rejoindre leur mère malade. D'abord en stop puis en camping-car, Prudence les accompagne et parvient même à dérider Clément qui aurait souhaité une virée entre garçons. Sous l'impulsion de Prudence grande fille apparemment toute simple venue de nulle part au vernis à ongles orange fluo, et finalement un peu compliquée quand même, le trio fraternel se mue en trio amoureux.
On lorgne du côté de "Jules et Jim" et des "Valseuses", on craint vaguement (tout en l'espérant) que grâce au personnage de Max (Gilles Cohen génialement hilarant) en amoureux meurtri armé jusqu'aux dents d'un pistolet d'alarme qui tire de vraies balles, le film va prendre un virage dangereux, voire loufoque... Et non, l'histoire de Clément, Nicolas et Patience n'est rien qu'une gentille bluette estivale et très ensoleillée (malgré quelques larmichettes). Pourtant il y a de belles tentatives de dialogues louftingues : "les citroën c'est des sournoises voire des vicelardes" et une ébauche libertaire mais rien de bien "méchant".
Reste le trio magique, solaire et séduisant. Pauline Lefèvre évoque Clotilde Hesme et son sourire irrésistible fait qu'on l'aime dès qu'elle apparaît même si on ne doute pas un instant qu'avec elle, les ennuis vont commencer. Les deux garçons pas bien malins, Clément Sibony, bougon, Nicolas Giraud, naïf sont eux aussi craquants +++.
grâce à WE ARE PRODUCTEURS qui, à l'occasion de l'ouverture du Festival de Cannes ce mercredi 11 mai a décidé de permettre à mes lecteurs de gagner ces 10 DVD.
Par ailleurs, WE ARE PRODUCTEURS offre la possibilité de monter les marches de Cannes en participant au concours qui aura lieu les 11 et 12, uniquement sur la Page FaceBook.
Pour gagner un des 10 DVD suivant :
Pour remporter un de ces DVD au choix, il vous suffit de trouver un titre de film.
Lorsque vous donnez votre réponse, dites pour quel DVD vous jouez. Merci.
Vous pouvez retrouver mon article sur chacun de ces films en cliquant sur le titre souligné.
UNE SEULE REPONSE A LA FOIS.
ATTENDEZ QUE J'AI VALIDE VOTRE REPONSE POUR TENTER VOTRE CHANCE A NOUVEAU.
GAME OVER. MERCI.
LE point commun était : films d'ouverture à Cannes.
1
BLINDNESS trouvé par Fab
qui a choisi NE LE DIS A PERSONNE
2
HUNGER trouvé par ouafouaf
qui a choisi LE DERNIER GANG
3
STAR WARS - L'ATTAQUE DES CLONES trouvé par Fabian
qui a choisi A L'ORIGINE
4
MOULIN ROUGE trouvé par Yohan
qui choisit SAGAN
5
VATEL trouvé par jocee
qui a choisi SI J'ETAIS TOI
6
LA-HAUT trouvé par damss
qui a choisi I LOVE YOU PHILLIP MORRIS
7
MY BLUEBERRY NIGHT trouvé par King72
qui a choisi FROM PARIS WITH LOVE
8
DA VINCI CODE trouvé -honteusement- par Gaël
qui a choisi L'HOMME QUI VOULAIT VIVRE SA VIE
9
ROBIN DES BOIS trouvé par Lamélo
qui a choisi COUP DE FOUDRE A RHODE ISLAND
10
FANFAN LA TULIPE trouvé par Megan-Li
qui a choisi LA REVELATION
de Jean-Pierre Améris, grâce à Studio Canal.
Pour cela il vous suffit de trouver le titre d'un film.
GAME OVER. MERCI
1
JE CROIS QUE JE L'AIME trouvé par Ed
2
ESSAYE-MOI trouvé par La Pyrénéenne
3
PRETE MOI TA MAIN de Eric Lartigau trouvé par Caro54
4
QUATRE ETOILES trouvé par zapette
5
DE VRAIS MENSONGES trouvé par damss