PARKLAND de Peter Landesman *
Synopsis : 22 novembre 1963, 12 h 38. C’est un patient peu ordinaire qui arrive en urgence au Parkland Memorial Hospital de Dallas.
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Synopsis : 22 novembre 1963, 12 h 38. C’est un patient peu ordinaire qui arrive en urgence au Parkland Memorial Hospital de Dallas.
Vous avez bien 5 minutes 29 à consacrer à cette petite merveille !
Et le réalisateur ressemble à ça :
Synopsis : Frédi a perdu sa mère. Cette dernière lui a transmis un don, dont il ne veut pas entendre parler. Mais il se trouve peu à peu contraint de reconnaître que ses mains guérissent... Il s'interroge. D'où vient ce don ? Qu'importe, il l'accepte...
Les plus :
- L'originalité du thème traité en observateur sans donner d'explication : avoir ce don c'est un fait, point.
- Les rapports humains : tout le monde est bancal, triste, pauvre, délaissé, malmené, mais ici entraide, solidarité riment avec évidence. Et c'est bon.
- Les acteurs : en tête Grégory Gadebois animal solitaire au regard traqué encombré d'un don qui le dépasse. Il n'est que douceur, colère, chagrin et... espoir. Céline Sallette, amoureuse blessée, douloureuse, boîteuse. Jean-Pierre Darroussin : lorsque son grand dadais de fils (Gadebois) lui dit "j'aime bien parler avec toi", il répond "ben dis donc, vaste chantier, y'a du boulot". Et il sourit. Il est unique !
- La caméra délicate de Dupeyron qui aime ses personnages.
Le moins :
une histoire d'amour parachutée là au milieu des tourments et à laquelle on ne croit jamais. Dommage.
Synopsis : Galaad et Noé se retrouvent à l’enterrement de leur père.