CONFINEMENT J 46
Dansons trois minutes avec Louis De Funés.
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Dansons trois minutes avec Louis De Funés.
"J'suis malheureuse sans aucune raison et ça m'rend encore plus malheureuse..."
Confinados, confinadas, en cette période de fin du monde, tentons de nous échapper... au sens premier du terme.
Toujours aussi simple, retrouvez le titre des films. Pour laisser sa chance aux lève-tard, merci de ne proposer que 5 réponses maximum (dans un premier temps).
GAME OVER. Merci. Il va VRAIMENT falloir que je complique les jeux.
Prochain jeu demain matin. Ensuite je vais me creuser pour que ce soit moins simple...
Ci-dessous évidemment Titanic...
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Les chiffres sont AU DESSUS
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Pour essayer de distraire et d'égayer quelques instants votre quotidien, en plus des jeux, je tâcherai de trouver quotidiennement un extrait de film qui me plaît.
Aujourd'hui :
Un peu d'air nous fera du bien.
Cette fois encore vous devez retrouver le titre des films. Encore merci aux champions de freiner leurs ardeurs en ne proposant que 5 réponses maximum (dans un premier temps). J'imagine bien la frustration mais non seulement cela laisse un peu de temps de réflexion aux autres et comme je passe pas mal de temps à préparer ces jeux, cela me permet de souffler un peu :-)
Les images sont en noir et blanc pour... essayer de corser l'affaire !
Game over. Merci à tous.
PROCHAIN JEU, DEMAIN.
Ci-dessous évidemment Les Dents de la mer...
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Les chiffres sont AU DESSUS
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Merci de me dire à qui appartiennent ces beaux regards.
GAME OVER. Merci et Bravo !
PROCHAIN JEU DEMAIN MATIN
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Les chiffres sont AU DESSUS
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N'oubliez pas les pouces et les ongles, et allez jusqu'au bout de la vidéo, la fin est délicieuse.
Cet acteur iranien s'appelle Danial Kheirkhah. Je trouve qu'il ressemble à Buster Keaton et sa vidéo est respectueuse tout en étant très drôle !
Il paraît qu'elle circule beaucoup et certains doivent déjà la connaître.
Je la découvre aujourd'hui. Merci Aifelle et Plumes d'anges.
Depuis le début du confinement, Augustin Trapenard lit chaque jour la lettre d'un écrivain qui évoque la façon dont il vit, ou a vécu désormais, le confinement. Confinement. Ce mot fait désormais partie de notre vocabulaire quotidien sans qu'on ait besoin de l'expliquer, même aux plus petits. Hier, j'ai revu mes amours (6 et 11 ans) parce que leur école n'a pas rouvert ses portes. Ils en ont pleuré. Ils veulent retourner à l'école même si ce ne sera pas l'école d'"avant". Je ne les avais pas vus depuis deux mois. Ils m'ont dit que lorsqu'ils raconteraient cette drôle d'époque à leurs enfants, ils auraient sans doute bien du mal à le croire. J'en ai eu les larmes aux yeux sans leur montrer, j'avais mes lunettes de soleil. Nous marchions dehors, dans la rue parce qu'ils ne sont pas sortis depuis deux mois (sinon dans leur jardin) et c'était comme une aventure.
Terrence Stamp me met en joie !