louis garrel - Page 2
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J'ACCUSE
de Roman Polanski ****
Avec Jean Dujardin, Louis Garrel, Emmanuelle Seigner, Grégory Gadebois et plein de beau monde.
L'Affaire Dreyfus dura 12 ans et déchira la France.
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FUNAN
de Denis Do ***
(pas avant 10 ans)
avec les voix de Louis Garrel et Bérénice Bejo
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L'HOMME FIDÈLE
de Louis Garrel **
Avec Louis Garrel, Laetitia Casta, Lily-Rose Depp, Joseph Engel
Marianne a préféré Paul à Abel. Elle a eu un enfant de Paul, Joseph, alors qu'elle vivait avec Abel.
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UN PEUPLE ET SON ROI
de Pierre Schoeller *
Avec Gaspard Ulliel, Adèle Haenel, Olivier Gourmet, Louis Garrel, Izïa Higelin, Noémie Lvovsky, Céline Sallette, Devis Lavant, Johan Libéreau, Laurent Lafitte
Synopsis : En 1789, un peuple est entré en révolution. Écoutons-le. Il a des choses à nous dire. UN PEUPLE ET SON ROI croise les destins d'hommes et de femmes du peuple, et de figures historiques. Leur lieu de rencontre est la toute jeune Assemblée nationale. Au coeur de l'histoire, il y a le sort du Roi et le surgissement de la République...
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PLANETARIUM
de Rebecca Zlotowsky **
Avec Natalie Portman, Lily Rose Depp, Emmanuel Salinger, David Bennent, Louis Garrel, Pierre Salvadori
Synopsis : Paris, fin des années 30.
Kate et Laura Barlow, deux jeunes mediums américaines, finissent leur tournée mondiale. -
LE MAL DE PIERRES
de Nicole Garcia *
Avec Marion Cotillard, Louis Garrel, Alex Brendemühl
Gabrielle est une jeune femme de la campagne qui n'a qu'une idée en tête : perdre sa virginité. C'est son seul et unique but dans la vie, faire la "chose principale".
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MON ROI de Maïwenn **
Admise dans un centre de rééducation pour plusieurs mois suite à un grave accident de ski, Tony va subir une longue convalescence. L'isolement sera pour elle l'occasion de faire le point sur la passion destructrice d'une dizaine d'années qu'elle a connue avec Georgio.
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SAINT LAURENT de Bertrand Bonnello **
Synopsis : 1967 - 1976. La rencontre de l'un des plus grands couturiers de tous les temps avec une décennie libre. Aucun des deux n’en sortira intact.
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LES BIEN AIMES de Christophe Honoré **
Les amours compliquées de Madeleine puis de sa fille Vera, des années 60 à nos jours, de Paris à Prague et jusqu'à Montréal en douleur et en chansons. C'est tout à fait par hasard que Madeleine s'est prostituée. Grâce à cela elle a pu assouvir son rêve de luxe et porter des chaussures que son salaire de vendeuse ne lui permettait pas d'acheter. Mais avec son coeur d'artichaut, elle est vite tombée amoureuse d'un client, un docteur étranger très beau mais très volage. Enceinte, Madeleine le suit dans son pays mais le quitte lorsque les chars russes envahissent Prague. Elle ne cessera jamais d'aimer Jaromil qui réapparaîtra parfois au fil des années, mais elle épousera François, plus rassurant, plus solide. A son tour, Vera connaîtra des amours tumultueuses. Elle ne verra jamais qu'un ami en Clément qui est fou d'elle et s'épuisera d'amour pour Henderson homosexuel et atteint du sida...
Ah non les histoires d'amour ne sont pas simples chez Christophe Honoré et parfois elles font pire que finir mal, elles ne commencent jamais.
Un réalisateur dont j'attends beaucoup parce qu'il a réussi à me bouleverser plusieurs fois qui me déçoit, et me voilà un peu triste. Mais je dois bien le reconnaître, la légéreté d'être de Madeleine lorsqu'elle est jeune ne passe pas l'écran. Ludivine Sagnier (dont je ne félicite pas le perruquier) lui prête son minois enfantin certes, mais son petit air pincé, son sourcil continuellement levé, ses sautillements en font davantage une gamine capricieuse qu'une grande amoureuse éprise de liberté et de l'amour. Par contre, dès qu'elle se met à souffrir, elle devient immédiatement beaucoup plus crédible. Le charme de son Jaromil n'agit pas non plus sur la spectatrice avide de beaux garçons. J'ai eu autant de mal à adhérer aux amours contrariées de Vera, incarnée avec beaucoup de fougue et d'abandon par Chiara Mastroianni belle et d'une minceur proche de l'anorexie...
Pourtant il y a de ci de là de beaux passages pleins de fièvre et c'est dans les moments où ses personnages souffrent que Christophe Honoré retrouvent la grâce qui m'avait fait chavirer dans ses "Chansons d'amour". Les chansons d'ailleurs sont tellement copiées/collées sur celles de ce film qu'il n'y a plus aucune surprise et le charme opère donc beaucoup moins.
Louis Garrel et Paul Schneider sont FORMIDABLES. Je sais c'est un peu court comme argument, mais franchement ils le sont !
Et puis, il y a la dernière demi-heure, vraiment très émouvante et surtout Catherine Deneuve souverraine, impériale qui emporte toutes les scènes (trop rares forcément) où elle apparaît. Tout me plaît chez cette actrice merveilleuse, mais par dessus tout c'est sa voix qui m'enchante.
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J'espère avoir le temps de vous parler du film que j'ai vu aujourd'hui et dont je suis encore bouleversée. Un **** évidemment !