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Sur la Route du Cinéma - Page 559

  • Où vont-ils chercher tout ça ?

    "Jack... J'te jure"

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    "Dans la vie, y'a deux catégories d'hommes : ceux qui ont un flingue et ceux qui creusent. Toi, tu creuses".

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    Lui : "............"

    Elle : "!!!"

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    - "T'as d'beaux yeux tu sais.

    - Embrassez-moi".

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    "Mais moi, les dingues j'les soigne. J'm'en vais lui faire une ordonnance, et une sévère ! J'vais lui montrer qui c'est Raoul. Aux quatre coins de Paris qu'on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon puzzle. Moi quand on m'en fait trop, j'correctionne plus, j'dynamite, j'disperse, j'ventile..."

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    "Vraiment ma chère... vous êtes le cadet de mes soucis"

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    "La vie c'est dur tout le temps ? Ou c'est seulement quand on est petit ?"
    "C'est toujours comme ça."

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    "Je suis ton père, Luke..."

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    "Play "as time goes by",  play it again Sam !"

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    "Nobody's perfect"

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    "Patricia, mon petit... je voudrais pas te paraître vieux jeu ni encore moins grossier. L'homme de la Pampa parfois rude reste toujours courtois, mais la vérité m'oblige à te le dire : ton Antoine commence à me les briser menu!"

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    "Ce ne sera pas trop dur pour vous, Madame Peel?"
    "Rien n'est jamais trop dur pour moi..."

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    "Certains hommes gagnent le monde, d'autres gagnent d'anciennes filles de joie et un voyage en Arizona. Au revoir."

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    "Si tu essayes de me cacher quelque chose, je te tue. Si tu déformes les faits ou si je crois que tu déformes les faits, je te tue. Si tu oublies quelque chose, je te tue. En vérité, il va falloir te donner un mal de chien si tu tiens à la vie. Est-ce que tu as saisi ce que je t'ai dit ? Fais un petit effort ou sinon je te tue."

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    "J'ai quoi dans le ventre?  Vous allez me dire ce que j'ai dans le ventre !" 
    "Tu as un monstre au fond de toi. Ces types ont piraté la navette où tu étais. Ils ont vendu ton cryotube à cet homme là. Il t'a mis un alien à l'intérieur de ton corps. Un spécimen très agressif. Il va sortir en te crevant la cage thoracique et tu vas mourir. D'autres questions ?"
    "Qui êtes-vous ?"
    "Je suis la mère du monstre."

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    "J'aime mieux le mal que tu me fais que le bien que me font les autres."

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    ""Tout va comme vous voulez, cher Monsieur ? On prend le frais, c'est ça ? Je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais un blanc circulant en plein Harlem avec une pancarte sur laquelle est écrit: "Je hais les nègres", soit il a un grave problème personnel à résoudre, soit il a quelques cases en moins."

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    "C'est pour les enfants que c'est terrible. Heureusement qu'ils n'en ont pas."

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    "100 hommes, quel courage..."
    "Oh, j'ai fait mieux depuis..."

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    "Oh, si, Dominique, amuse toi. Ca empêche de mourir."

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    "Avec Saul, ça fait 10. Ca devrait être assez, t'es d'accord ? Tu crois qu'il en faudrait un de plus ?... Tu crois qu'il en faudrait un de plus ! On en trouvera un de plus."

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    "Vous les humains, vous êtes à votre meilleur quand les choses sont au pire..."

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    "C'est pas que tu sois bon à rien ; tu es mauvais à tout"

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    "Ainsi s'éteint la liberté. Sous des applaudissements."

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    "On ne sent pas le cul quand on connait pas."

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    "Je suis heureux que tu sois ici avec moi. Ici, à la fin de toutes choses, Sam"

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    "Et earello en dorenna utulien. Sinome maruvan zt "Hildinyartenn" ambar metta"


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    Pierre Brochant :Il s'appelle Juste Leblanc
    François Pignon :
    Ah bon, il n'a pas de prénom ?
    Pierre Brochant :
    Je viens de vous le dire : Juste Leblanc. "Leblanc", c'est son nom, et c'est "Juste" son prénom.
    François Pignon :
    ...
    Pierre Brochant :Monsieur Pignon, Votre prénom à vous, c'est François, c'est juste ?

    François Pignon :Oui
    Pierre Brochant :Et bien lui, c'est pareil. C'est Juste !

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    Pierre Mortez : Je n'aime pas dire du mal des gens, mais elle est gentille.

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    Jim Lovell : Houston, on a un problème

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    Jack Dawson :Je suis le roi du monde !!

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    Lieutenant-Colonel Kilgore : J'adore l'odeur du napalm le matin

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    Je vais te faire une proposition que tu pourras pas refuser

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    Elle va marcher moins bien... forcément...

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    "Qui es-tu ? As-tu une femme ? Une petite amie ? Qui qu'elle soit, je vais la trouver. Je vais lui faire très mal. Et puis je te tuerai en face d'elle"


    à suivre...
     

  • El Aura de Fabian Bielinsky**

    El Aura est un film difficile à défendre et difficile à rejeter tant il est à la fois ennuyeux et fascinant.

    Le héros sans nom (l'acteur Ricardo Darin déjà présent dans le très grisant "Les Neuf Reines") promène sa carcasse muette, solitaire, fatiguée et épileptique en rêvant du hold-up parfait. Entre une forêt, un bordel, une cabane et un casino, le réalisateur nous balade, nous appâte et nous séduit, il dégomme la plupart de ses acteurs en insistant encore sur le suspens... puis il nous laisse en plan devant le générique de fin.

    La plupart du temps, je n'aime pas que le travail soit mâché par trop d'explications mais là, je me suis réellement perdue dans la forêt !!!

  • OUBLIER CHEYENNE de Valérie Minetto***

     

    Sonia est jeune, belle, elle aime la vie, son métier (prof de chimie), ses élèves et comme elle fait partie de ce monde pourri : elle s'y adapte.

    Chéyenne est jeune, belle, elle aime la vie mais comme ce monde pourri l'a exclue (elle a été licenciée), elle décide de quitter la ville et de s'installer à la campagne et d'y vivre en marginale (sans eau, sans électricité, sans chauffage...).

    Sonia et Chéyenne s'aiment d'amour et de passion mais elles se séparent car elles ne parviennent plus à concilier leur amour et les contraintes de leur engagement sans concession. La vie l'une sans l'autre s'organise mais c'est compter sans la force de leurs sentiments. Elles ne s'écrivent pas mais communiquent par télépathie ce qui peut être envahissant et donner lieu à des scènes à la fois cocasses et fortes qui permettent, mine de rien, de faire avancer l'histoire.

    Sonia fait des rencontres : Pierre (Malek Zidi, positif et radieux) qui tombe illico amoureux d'elle (on le comprend), et Béatrice (Guilaine Londez) qui ne conçoit l'amour que dans la souffrance qu'il procure et qu'on provoque chez l'autre... Chéyenne fait des rencontres : Edith (Laurence Cote, fragile et en colère), marginale comme elle mais encore plus jusqu'au boutiste puisqu'elle va jusqu'à refuser le RMI qui la ferait entrer dans le système et  lui devoir quelquechose.

    Sonia et Chéyenne s'aiment mais elles tentent de s'oublier alors que même la nuit est peuplée de rêves l'une de l'autre. L'oubli est impossible et elles vont se revoir pour chercher une solution, essayer de faire des concessions, comprendre les aspirations et motivations de l'autre, sans se trahir soi-même.

    Ce beau film d'amour absolu n'est absolument pas plombé par les tirades politiques ancrées dans le contexte social, au contraire, même si le discours paraît parfois un peu en-dessous de la maturité des héroïnes.

    Sonia et Chéyenne, ce sont Aurélia Petit et Mila Dekker (dont c'est le 1er film) et les deux actrices sont absolument sublimes, magnifiques, parfaites dans leur rôle respectif, d'une beauté évidente et les scènes où elles apparaissent ensemble sont d'une telle fusion qu'il va être difficile de les dissocier.

  • Ne les ratez pas :

    "Le Secret de Brokeback Mountain" d'Ang Lee

    "Good Night and Good Luck" de Georges Clooney

    "Munich" de Steven Spielberg

    "Le Nouveau Monde" de Terence Malick

    "The Ballad of Jack and Rose" de Rebecca Miller

    "Romanzo Criminale" de Michele Placido

    "Inside man" de Spike Lee

    Sophie Scholl, les derniers jours de Marc Rothemund :

    April snow :

    The Secret Life of Words :

    C.R.A.Z.Y. de Jean-Marc Vallée :

    A BITTERSWEETLIFE de Kim Jeewoon :

    MARIE-ANTOINETTE DE Sofia Coppola :

    LE CAÏMAN de Nanni Moretti :

    The Road to Guantanamo de Michaël Winterbottom :

     Avril de Gérard Hustache-Mathieu

    Paris Je t'aime

     Changement d'adresse d'Emmanuel Mouret

     Meurtrières de Patrick Grandperret

     

    Superman Returns

     La raison du plus faible de Lucas Belvaux

     Arrivederci Ciao Amore de Michele

     La tourneuse de pages de Denis Dercourt

     

    Brick de Rian Johnson

     Nausicaä de la Vallée du Vent

     La Jeune fille de l'eau de M. Night Shyamalan

     Le vent se lève de Ken Loach

    Indigènes de Rachid Bouchareb

    12 and Holding

    A scanner darkly

    Little Miss Sunshine

    Quand j'étais chanteur de Xavier Giannoli

    Je vais bien ne t'en fais pas

    Le Parfum

    Une vérité qui dérange

    The Queen de Stephen Frears

    Les fils de l'homme d'Alfonso Cuaron

    Ne le dis à personne de Guillaume Canet+

    Libero de Kim Rossi Stuard

    Scoop de Woody Allen

    Babel d'Alejandro Gonzales Inarritu

    Le Prestige de Christopher Nolan

    Casino Royale de Martin Campbel

    Je m'appelle Elisabeth de Jean-Pierre Améris

    Azur et Asmar de Michel Ocelot

    Le labyrinthe de Pan de Guillermo del Toro

    Les Infiltrés de Martin Scorcese

    La Flûte Enchantée de Kenneth Branagh

    Arthur et les Minimoys de Luc Besson

    The Fountain de Darren Aronofski

     

  • En 2005, Il ne fallait pas les rater :

    "Million Dollar Baby" de Clint Eastwood

    "Le Château Ambulant" d'Hayao Miyasaki

    "Tu marcheras sur l'eau" de Eytan Fox

    "The machinist" de Brad Anderson

    "Sideways" d'Alexander Payne

    "Les tortues volent aussi" de Bahman Gobhadi

    "Le cauchemar de Darwyn" d'Hubert Sauper

    "Palindromes" de Todd Solonz

    "Locataires" de Kim Ki-Duk

    "Garden State" de Zach Braff

    "Last days" de Gus Van Sant

    "Star Wars" de Georges Lucas

    "Trois enterrements" de Tommy Lee Jones

    "Narnia" d'Andrew Adamson

    "Charlie et la Chocolaterie" de Tim Burton

    "Paradise now" de Hany Abu-Assad

    "Joyeux Noël" de Christian Carion

    "Les noces funèbres" de Tim Burton

    "Match point" de Woody Allen

    "History of Violence" de David Cronenberg

    "Le temps qui reste" de François Ozon

    "L'enfant" de Jean-Pierre et Luc et Dardenne

    "L'été où j'ai grandi" de Gabriele Salvatore

    "Une belle journée" de Gaby Dellal

     

    "Rize" de David Lachapelle

    "Ray" de Taylor Hackford

     

    "J'ai vu tuer Ben Barka" de Serge Le Péron

    "Avanim" de Raphaël Nadjari

  • Mes meilleurs à moi...

    1) "Sur la Route de Madison" de Clint Eastwood

     

    2) "Autant en emporte le vent" de Victor Fleming

     

    3) "Voyage au bout de l'enfer" de Michaël Cimino

     

    4) "2001 l'Odyssée de l'Espace" de Stanley Kubrick

     

    5) "An affair to remember" de Leo Mc Carey

     

    6) "L'aventure de Mrs Muir" de Joseph Mankiewicz

     

    7) "Le Parrain" , ex aequo "Apocalypse Now" de Francis Ford Coppola,

     8) "Edward aux mains d'argent" de Tim Burton

     

    9) "La sirène du Mississipi" de François Truffaut

     

    10) "Manhattan" de Woody Allen et "Mulholland Drive" de David Lynch

     

     

    Je sais, les ex-aequo c'est pas normal, mais c'est moi qui décide !

    Suivent de très près :

    "Lost in translation" de Sofia Coppola,

    "Donnie Darko" de Richard Kelly,

    "Master and commander" de Peter Weir

    "Fisher king" de Terry Gilliam,

    "Vivre" de Zhang Yimou",

    "Le Docteur Jivago de David Lean,

    "Un après-midi de chien" de Sydney Lumet,

    "Tout sur ma mère" de Pedro Almodovar,

    "Le Prince de New-York" dAbel Ferrara,

    "Le troisième homme" de Carol Reed,

    "The shop around the corner" de Ernst Lubitsch...

    tous les films de : Marilyn Monroe, Al Pacino, Pedro Almodovar, Woody Allen, Clint Eastwood, Jake Gylenhall, Gus Van Sant, Tim Burton, Terry Gilliam...

  • The Woodsman de Nicole Kassel°

    Pourquoi Woodsman ??? Bûcheron ou homme des bois ??? En tout cas, dans le film Walter (Kevin Bacon) est menuisier !

    Walter sort de douze ans de prison parce qu'il aimait trop les petites filles : "ce n'est pas ce que tu crois, je ne leur fais pas de mal !!!". Un homme l'embauche illico à sa sortie de taule en lui disant "je te prends uniquement pour ce que tu as fait à mon père !!!", sauf que ce qu'il a fait au père, on ne le saura pas. Walter trouve un appartement : juste en face d'une école, normal. 

    Rapidement, on découvre que Walter aime toujours les petites filles... de toute façon, c'est simple, dans le bus, dans la rue, dans le parc, il n'y a que des petites filles de 10/12 ans, pile poil la tranche d'âge qui fait frémir Walter. Devant l'école, il y a un pédophile qui lui, aime les petits garçons, Walter l'observe mais Walter ne peut pas le dénoncer car il attirerait l'attention de la police sur lui : il le laisse donc emmener un petit garçon dans sa voiture !!! Quand il redépose le petit garçon la nuit suivante, Walter lui met une râclée et lui casse la mâchoire, non mais...

    Walter se trouve une petite amie (la très masculine et très grimaçante Kyra Sedgwick), il lui raconte son "deep secret", elle lui dit deux fois "y'a pas grand chose qui me choque", mais elle lui fait la gueule pendant quelques jours puis elle revient le chercher, lui offre une plante verte et le fait emménager chez elle.

    Walter suit une petite fille dans un parc. Il ne lui offre pas de bonbons, il lui parle des oiseaux. La petite fille a un papa qui aime bien la prendre sur ses genoux donc elle veut bien s'asseoir sur les genoux de Walter, ça ne la dérange pas mais ça la fait pleurer quand même.

    Walter voit un psy régulièrement et il lui demande "quand est-ce que je serai enfin normal ?". Le psy ne sait pas et dit "on se revoit la semaine prochaine".

    S.T.O.P.

    Que peut-on tirer d'un film où un pédophile est posté devant chaque école, où un pédophile qui sort de prison s'installe devant une école, où un pédophile ne croise que des enfants où qu'il aille ?

    Kevin Bacon, 45 ans et  physique d'éternel ado ambigu, inquiétant, inquiet, parvient à composer une interprétation discrète et pudique d'un personnage déplaisant mais c'est trop peu pour sauver du naufrage ce film vain et vaguement nauséeux. 

     

  • La doublure de Francis Véber *

    Si l'on passe outre l'invraisemblable propos de départ, on peut passer un bon moment et rire parfois franchement, sourire aussi. Un top model (l'interminable Alice Taglioni) est contrainte de vivre avec et chez un prolo  pour sauver son amant d'un divorce qui le ruinerait puisque c'est sa femme qui détient 60% de l'entreprise... L'appart est petit, minable et bordélique car, c'est bien connu, le prolo n'a aucun sens de l'ordre et de la déco.

    Le prolo c'est l'adorable Gad Elmaleh alias François Pignon, qui pour l'occasion s'est fait la tête du premier de la classe : cheveux plaqués, raie sur le côté, chemise blanche. Comme tous les François Pignon, il est gentil, naïf, rêveur, intelligent... bref adorable comme Gad Elmaleh. Ce rôle rend Gad Elmaleh particulièrement introverti : c'est surprenant mais pas désagréable.

    Concernant le film : c'est une mécanique bien huilée avec des dialogues ciselés et percutants, c'est beaucoup beaucoup moins vulgaire que "Les Bronzés", beaucoup beaucoup plus drôle que "Fauteuils d'orchestres" qui se prétendait une comédie, donc, même si c'est dans la catégorie que je nomme "sitôt vu, sitôt oublié", cela n'a rien d'indigne.

    J'avoue quand même avoir eu un gros gros faible pour l'acteur Patrick Mile dans un rôle très secondaire de beauf, dragueur, sûr de lui et du pouvoir magique de sa profession : vendeur de portables aux sonneries improbables (La chevauchée des Walkyries, la Marseillaise...) ! Ce genre de personnes, ce genre de sonneries : ça n'existe pas... N'est-ce pas ???

    En règle générale, le casting est assez réjouissant : Daniel Auteuil est fiélleux, haineux et lâche, Richard Berry est servile et obséquieux avec jubilation, Christin Scott Thomas est une grande bourgeoise maniérée sans état d'âme...

    Bref, tout ce petit monde est assez caricatural, les méchants très méchants, les gentils très gentils mais comme ce sont les gentils qui gagnent, il n'y a rien à redire.