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Sur la Route du Cinéma - Page 341

  • LE JEU CINEMA DU LUNDI SANS RIEN A GAGNER.

    Mais respectez les règles quand même.

    Une SEULE REPONSE à la fois jusqu'à ce que je dise "c'est bon" ou "c'est pas bon".

    Trouvez les titres des films suivants, et hop !

    Et si vous voulez jouer à un super jeu c'est ICI.

    GAME OVER. Merci.

    1

    Dans Paris trouvé par Fred

    jeu cinémajeu cinéma

    2

    LES SOEURS BRONTE trouvé par Mister Loup

    jeu cinémajeu cinéma

    3

    BAROCCO trouvé par Fred

    jeu cinémajeu cinéma

    4

    L'AMOUR EN FUITE trouvé par Martin K.

    jeu cinémajeu cinéma

    5

    MARION trouvé par marion ah ah ah

    jeu cinémajeu cinéma

    6

    LE VAMPIRE DE DUSSELDORF trouvé par Fréd

    jeu cinémajeu cinéma

    7

    L'AS DES AS trouvé par marion

    jeu cinémajeu cinéma 

    8

    LE PRIX DU DANGER trouvé par marion

    jeu cinémajeu cinéma

    9

    LE CORPS DE MON ENNEMI trouvé par marion

    jeu cinémajeu cinéma

    10

    LA BANQUIERE trouvé par Fred

    jeu cinémajeu cinéma

     

    LE point commun

    jeu cinémajeu cinéma

  • MA SEMAINE AU CINEMA

    Pour lire mes articles cliquez sur le titre ou l'affiche.

    VOUS RÊVEZ D'ÊTRE MEMBRE DU JURY AU FESTIVAL DU FILM DE CABOURG

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    CODE SOURCE de Duncan Jones ***

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    L'ETRANGERE de Feo Aladag ***

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    DETECTIVE DEE : LE MYSTERE DE LA FLAMME FANTÔME de Tsui Hark **

    morning glory de roger mitchell,l'etrangere de feo aladag,code source de duncan jones,cinéma

    MORNING GLORY de Roger Mitchell °°°

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    MES COUPS DE COEUR 

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    morning glory de roger mitchell,l'etrangere de feo aladag,code source de duncan jones,cinéma,vous rÊvez d'Être membre du jury au festival du film de cabourg

  • DETECTIVE DEE : LE MYSTERE DE LA FLAMME FANTÔME de Tsui Hark **

    DETECTIVE DEE : LE MYSTERE DE LA FLAMME FANTÔME de Tsui Hark, cinéma, andy lau, bingbing li, tony leung ka fai DETECTIVE DEE : LE MYSTERE DE LA FLAMME FANTÔME de Tsui Hark, cinéma, andy lau, bingbing li, tony leung ka fai DETECTIVE DEE : LE MYSTERE DE LA FLAMME FANTÔME de Tsui Hark, cinéma, andy lau, bingbing li, tony leung ka fai

    L'impératrice Wu Ze Tian prépare la cérémonie de son prochain couronnement. Nous sommes en 690 et voir une femme (la première et la seule de toute l'histoire de la Chine) accéder au trône n'est pas du goût de tous. Les temps ne changent finalement pas tant que ça. Il y a donc pas mal de chahut autour de cette fête. Et la construction du Bouddha géant face au palais impérial est menacée. D'étranges morts par autocombustion (les victimes crament de l'intérieur) se succèdent. L'Impératrice décide de mettre le Juge Dee sur le coup, car il est le meilleur détective de tous les temps. Pourtant il est emprisonné depuis 8 ans pour crime d'insolence... Mais la despote n'en est pas à une incohérence près et le fait donc libérer. Elle charge la très dévouée Shangguan Wan'er de le seconder dans la tâche.

    Mes neurones ayant un peu fondu en ces temps de canicule, j'irai à l'essentiel en vous prévenant que ce film est l'exemple même du film très beau et parfois un peu chiant ! On y perd régulièrement son mandarin classique et il faut s'accrocher aux branches de bambous pour suivre tous les tenants et aboutissants ! Evidemment c'est plutôt bienvenu que les très vilains et donc les traitres ne soient pas forcément ceux que l'on croit et que Tsui Hark détourne tous les délits de faciès faciles mais franchement, parfois je ne savais plus trop où j'en étais. Cela dit, et ce n'est pas le moins intéressant, on en prend réellement plein la vue (et les oreilles, j'adore la musique qui chinoise !) avec des images virtuoses, des combats chorégraphiés en apesanteur, des forêts de bambous, des intérieurs riches et classieux, des costumes... pas moins. C'est TOUJOURS élégant et somptueux, un régal permanent pour les mirettes ! Et puis, il y a Andy Lau, beau comme jamais et comme toujours, séduisant et même parfois très légèrement souriant (une véritable cascade !), d'ailleurs les rares femmes de l'histoire rêvent de l'avoir à leur côté et plus s'il n'y avait pas toujours un scélérant pour surgir et l'empêcher de se déshabiller !!!

  • VOUS RÊVEZ D'ÊTRE MEMBRE DU JURY

    au Festival du Film de Cabourg

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    Et bien ne rêvez plus, comme chaque année grâce à Studio Ciné Live, vous pouvez tenter votre chance et devenir MEMBRE DU JURY DES COURTS METRAGES. Je vous rappelle qu'en 2007 j'ai eu le bonheur d'être sélectionnée et que j'ai vécu quelques jours inoubliables* entre rêve, cinéphilie et réalité. En 2009 j'y suis retournée, car c'était au tour d'Hervé d'être sélectionné*. C'était donc encore plus inoubliable.

    Cette année le festival aura lieu du 17 au 19 juin et fêtera ses 25 ans. Cela risque donc d'être une année riche en événements et émotions.

    Une dizaine de films sont présentés dans cette section (courts métrages), également ouverte aux courts-métrages étrangers dans la mesure où ils sont sous-titrés en français. Le jury des courts métrages est composé d'acteurs, de réalisateurs, de cinéphiles sélectionnés par voie de presse et il est chargé de récompenser le réalisateur du meilleur film court de l'année, la meilleure actrice et le meilleur acteur.

    Le Swann d'Or du meilleur court-métrage est doté d'une aide financière sous forme de prestations techniques (sous-titrage, laboratoire et édition de matériel de promotion), offerte par les industries techniques au réalisateur lauréat, et une aide à la formation est offerte aux deux acteurs lauréats.

    * cliquez sur les liens pour retrouver mes articles... et quelques photos floues sont disponibles dans la rubrique "mes albums" (colonne de droite de ce blog, tout en bas).

    Mais venons en au fait, POUR ÊTRE SELECTIONNE, c'est enfantin :

    envoyez CV et lettre de motivation avant le 10 mai 2011 à

    STUDIO CINE LIVE

    Concours Festival de Cabourg

    23 rue de Châteaudun

    75009 PARIS.

    Je ne veux pas radoter mais je ne vous répèterai jamais assez à quel point cette expérience est enthousiasmante. Pour le petit veinard qui remportera le gros lot, le séjour comprend :

    • le transport aller/retour Paris-Cabourg-Paris
    • l'hébergement en hôtel et les repas
    • les invitations aux dîners et soirées officielles.

    En mode total

     

    Alors à vos plumes, claviers et autres moyens d'écriture... et laissez votre romantique cinéphilie s'exprimer.

  • CODE SOURCE de Duncan Jones ***

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    Un homme se réveille brutalement dans un train qui approche de Chicago. La jeune femme assise en face de lui semble le connaître, l'appelle Sean, lui évoque des conseils qu'il lui aurait donnés. Il ne comprend pas ce qu'il fait là, panique et... 8 minutes plus tard, le train explose. Tout le monde meurt.

    Le soldat Colter Stevens se réveille brutalement dans un caisson. Une femme militaire s'adresse à lui au travers d'un écran de contrôle. Colter est perdu, ne comprend pas ce qu'il fait là. Commence à se souvenir de la guerre en Afghanistan...

    Le spectateur est (de moins en moins) bien confortablement installé dans son fauteuil et il serait heureux qu'il n'ait rien lu à propos de ce film avant de pénétrer dans la salle pour découvrir au fur et à mesure ce que Sean et Colter ont à voir l'un avec l'autre. Que les deux hommes ne soient qu'un seul et même personnage, on l'apprend dans les premières minutes, mais il y a des choses, me semble t'il, qu'il est préférable ne pas connaître pour que le suspens et le plaisir demeurent entier. Cela paraît complètement impossible aujourd'hui d'aller voir un film sans en rien savoir. Dommage. Mais de toute façon, quoique vous ayez lu, vous aurez quand même des surprises car Duncan Jones (que j'aime d'amour, c'est décidé) est un petit génie plein de talent.

    La mission du soldat Colter Stevens est en fait de découvrir qui est le responsable de l'attentat du train de Chicago et d'empêcher le suivant qui vise cette fois la ville de Chicago toute entière. Il est le cobaye désigné volontaire d'une procédure expérimentale encadrée par l'armée américaine. La mission de Colter Stevens est de retourner dans ce train autant de fois qu'il le faut jusqu'à trouver le terroriste et l'intercepter avant qu'il n'exécute son attentat. Le voilà donc condamné, d'une certaine façon, à revivre continuellement les 8 minutes qui ont précédé l'explosion...

    Souvenez-vous, l'année dernière, j'ai fait partie des quelques centaines de privilégiés qui ont pu voir sur grand écran (en ce qui me concerne en février à Annonay) le premier film de Duncan Jones "Moon" avec un prodigieux Sam Rockwell. Hélas, pour des raisons que la logique, les lois et l'intelligence de la programmation ignorent et me sont totalement incompréhensibles, ce film que je tiens pour n'être pas loin d'un chef d'oeuvre est sorti directement en DVD. Honte à ceux qui sont chargés de faire en sorte qu'un film sorte sur les écrans et que toutes les plaies d'Egypte s'abattent sur eux et les 13 générations de leur descendance... ça soulage ! mais ça ne console pas.

    Heureusement, Duncan Jones (fils de David Bowie pour ceux qui ne le sauraient pas encore) a réussi à réaliser un autre film et amener à lui un autre acteur digne du plus grand des intérêts : Jake Gyllenhaal, absolument irrésistible. Et son film, s'il est moins vertigineux que le premier est encore une totale réussite. Dès le générique qui observe de loin le parcours d'un train dans lequel nous n'allons plus cesser de voyager, et sur une musique quasi hitcockienne, le réalisateur nous emporte pour ne plus nous lâcher. Réussir à mêler aussi subtilement film d'anticipation alambiqué, charmante et très originale comédie sentimentale, grosse machine américaine avec action musclée et suspens haletant dans un seul film, avec une seule histoire, prouve et démontre que Duncan Jones peut être plus qu'habile dans de nombreux genres cinématographiques. C'est pourquoi il est désormais un des réalisateurs dont chaque film procure attente, espérance et impatience.

    Manifestement, le réalisateur a des préoccupations tarabiscotées concernant le ciboulot, ce qui s'y passe mais aussi comment on peut y trifouiller et si l'on n'a pas décortiqué et compris toute la littérature de Philip K. Dick on peut lâcher en route les tenants et aboutissants de l'affaire en cours...mais c'est relativement peu important car Duncan Jones, ce petit malin, ne laisse tomber personne. Son héros se réveille devant une belle et compréhensive jeune femme et à l'instar du Phil Connors (Bill Murray) de "Un jour sans fin" qui revit sans cesse le jour de la marmotte avec comme but de séduire Rita (Andy MacDowell), Colter/Sean (Jake Gyllenhaal, irrésistible... ah oui, je l'ai déjà dit !) va peu à peu, au fil de ses réapparitions, se rendre indispensable à Christina (Michelle Monagham, craquante). Sa façon de "draguer" dans l'urgence puisqu'il doit aussi accessoirement sauver le monde, est absolument délicieuse.

    A l'aise dans tous les registres, Jake/Colter/Sean est idéal en amoureux, en cobaye qui flippe de comprendre peu à peu (comme nous) dans quel piège il est enfermé, comme en militaire impulsif et bagarreur obligé régulièrement de bastonner. Tous les tiroirs de l'énigme s'ouvrent un à un et malgré la répétition de la même scène qui révèle à chaque fois de nouveaux mystères, le spectateur n'est jamais lassé. Les quelques scènes d'enfermement dans la capsule où Colter essaie de se débarrasser de sa "ceinture" de sécurité rendent des films tels que "127 heures" et "Buried" qui promettaient d'être claustrophobiques sans jamais réussir à l'être encore plus ridicules. Quant à l'émotion, elle émerge progressivement, à mesure que Colter réalise sa condition...

  • L'ETRANGERE de Feo Aladag ***

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    l'etrangere de feo aladag,cinéma

    Umay est mariée à Kemal qui est de plus en plus violent avec elle et leur petit garçon. Elle vit en Turquie dans sa belle-famille et ne reçoit de soutien que d'une belle soeur. Pour se protéger et protéger son fils elle rejoint sa famille en Allemagne. Dans un premier temps, ses parents, ses frères et sa soeur sont ravis de la retrouver. Quand ils comprennent qu'Umay a quitté son mari et n'a aucune intention de retourner auprès de lui en Turquie, le déshonneur s'abat sur la famille qui rejette Umay et tente de toutes les façons possibles de lui enlever son fils...

    C'est le combat perdu d'avance d'une femme seule contre tous, contre les traditions religieuses et familiales complètement archaïques qui entendent maintenir la femme dans un rôle silencieux et si possible d'ignorance et de soumission totales. Umay ne rêve que d'être heureuse, de travailler, d'élever son enfant et si possible un jour de choisir un homme qu'elle aime. L'état d'esprit moyen-âgeux dans lequel les croyances et les pratiques ont enfermé cette famille régie par les lois des hommes faites pour les hommes sont en totale contradiction avec les illusions de la jeune femme. Sans cesse persuadée à tort que l'amour des siens les ramènera enfin à la raison, elle reviendra frapper à la porte, demander pardon (de quoi ?), supplier... s'exposant chaque fois un peu plus à la colère et à l'agressivité croissantes de son père et de ses frères.

    Nul doute que ces pratiques régies par les certitudes religieuses inébranlables existent et qu'elles provoquent les mêmes dégâts irréparables tels que ceux que l'on voit se dérouler devant nos yeux stupéfaits. Deux heures d'obstination et d'acharnement minutieux à détruire cette jeune femme mais aussi son étrange volonté à se jeter constamment dans la gueule du loup sont éprouvants pour le spectateur, ainsi que la fin désespérante et choquante !

    L'actrice Sibel Kekilli (qui porte admirablement bien son prénom) est remarquable.

  • J'AI VU UN FILM AUJOURD'HUI

    mais il était tellement affligeant, consternant, accablant, lamentable, désolant, mauvais, navrant... pas marrant malgré tous ses efforts et son agitation pour tenter d'essayer de l'être, désastreusement mal interprété malgré... que je n'ai pu résister au-delà de la première heure et je suis rentrée chez moi !

    le plus mauvais film de l'année

    Je ne vous en parlerai donc pas. Mais vous pouvez tenter d'en trouver le titre. Et aussi faire un effort pour ce jeu ci... car une des gagnantes ne vivant pas en France, je ne peux lui envoyer le magazine, il en reste donc un à gagner. Faites un effort.

     

    C'est finalement HELENE qui a trouvé de quel film il s'agissait, sans doute l'un des plus mauvais vus cette année puisque (contrairement aux autres mauvais que j'ai vus) je n'ai pas pu rester jusqu'à la fin.

    le plus mauvais film de l'année

    Et vous n'avez vraiment pas envie de gagner un exemplaire de STUDIO CINE LIVE ???

  • 2 EXEMPLAIRES DE STUDIO CINELIVE A GAGNER

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    Après le traditionnel Edito de Fabrice Leclerc, on ouvre ce numéro sur une affirmation que je partage à 200 % :

    TERRENCE MALICK, ENFIN !

    J'espère que son "Tree of life" ne sortira pas des mois après sa présentation à Cannes le 18 mai. Pour patienter nous avons ceci :

    Au sommaire de ce numéro vous trouverez des articles sur Alice Taglioni (son retour après 3 ans d'absence), Keneth Branagh qui passe de Shakespeare à la mythologie germanique avec "Thor", mais aussi Cécile Cassel, Guillaume-miam-miam-Gouix, Tsui Hark, Wes Craven... Mais aussi l'analyse du film phénomène australien "Animal Kingdom, une leçon de cinéma de Patrice Leconte, des révélations sur les tournages de "Conan le Barbare", un portfolio sur Robert de Niro photographié sur le tournage de "Taxi Driver" (qu'il était beau !!!), et évidemment quelques pages à propos d'Elizabeth Taylor.

    Pour gagner un exemplaire de ce magazine, trouvez un titre de film.

    Comme toujours UNE SEULE REPONSE à la fois par personne. Merci.

    LES GAGNANTS SONT sopel et ludo.

    GAME OVER. THANKS

    1

    CES AMOURS LA trouvé par Camille Fantasme

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    2

    LES EMOTIFS ANONYMES trouvé par zapette

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    3

    LE NOM DES GENS trouvé par ludo

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    4

    MEGAMIND trouvé par Fred

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    5

    MON POTE trouvé par sopel

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  • MA SEMAINE AU CINEMA

    Pour lire mes articles cliquez sur le titre ou l'affiche.

    D'UN FILM A L'AUTRE de Claude Lelouch ****

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    WINTER'S BONE de Debra Granik ***

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    SI TU MEURS JE TE TUE de Hiner Saleem ***

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    RABBIT HOLE de John Cameron Mitchell **

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    LA PROIE de Eric Valette *

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    MES COUPS DE COEUR

     

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